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Buta i arogancja/1/fr: Różnice pomiędzy wersjami

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'''MORGUE ET AROGANCE''' - Selon Michael Walzer, la morgue des fonctionnaires consiste à revendiquer le droit de domination, ce qui résulte du fait qu’avec le poste de fonctionnaire sont distribués des biens sous forme d’honneur et de statut, de pouvoir et de prérogative, de richesse et de confort. La morgue et l’arrogance des employés de l’administration publique tire sa source des conditions juridiques et politiques, du faible niveau d’éducation de la société et de l’absence de culture organisationnelle dans les bureaux. La raison du comportement plein de la morgue peut être paradoxalement le professionnalisme, qui est l'un des principes permettant de maintenir la distance entre un fonctionnaire doté d'une expertise et un citoyen qui n'a pas besoin de cette connaissance dans la vie quotidienne. Un superviseur peut être guidé par morgue envers ses subordonnés. En effet, un vaillant superviseur suppose que les employés doivent suivre ses instructions en raison de leur subordination, même lorsqu'elles sont incompatibles avec les modèles culturels acceptés, décentes ou oscillent à la frontière du règlement du travail et de la loi. Un fonctionnaire peut s'avérer plein de la morgue envers un citoyen. Cela s'exprime par le traitement condescendant envers des citoyens, le manque d'impartialité dans la prise de décision, le non-respect de l'intérêt personnel ou social du citoyen dans le processus de prise de décision, la manque de coeur et les tentatives de rendre les citoyens dépendants des institutions. L’arrogance des professions de confiance du public sont exprimées par une longue attente des citoyens dans les files d'attente, le traitement d'un citoyen dans une institution publique comme un intrus, l'incompétence des employés de bureau, médecins ou juristes, la multiplication des règlements bureaucratiques, l'utilisation d'un jargon officiel, médical ou juridique lors des conversations avec les clients / citoyens ou même le refus de traitement du dossier. L’arrogance de l'institution envers le citoyen se manifeste en violant les principes de justice sociale, en se moquant de leurs fondements, en trompant les citoyens, en enfreignant la loi de plein droitsous le coup d'une condamnation totale à l'impunité. L’arrogance des institutions à l'égard du citoyen se traduisent également par un manque d'économie. L’absence de critères clairs pour le contrôle externe et un contrôle interne défaillant ou inexistant, le système peu clair de recrutement, de sélection, de promotion et de sanction des employés dans l’administration publique et enfin le manque de stabilité professionnelle sont propices à une augmentation de l’arrogance et des chaussures (principalement parmi les cadres moyens de l’administration publique, mais cela vaut également pour cadres supérieurs) [J. Itrich-Drabarek].
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"MORGUE ET AROGANCE" - Selon Michael Walzer, la morgue des fonctionnaires consiste à revendiquer le droit de domination, ce qui résulte du fait qu’avec le poste de fonctionnaire sont distribués des biens sous forme d’honneur et de statut, de pouvoir et de prérogative, de richesse et de confort. La morgue et l’arrogance des employés de l’administration publique tire sa source des conditions juridiques et politiques, du faible niveau d’éducation de la société et de l’absence de culture organisationnelle dans les bureaux. La raison du comportement plein de la morgue peut être paradoxalement le professionnalisme, qui est l'un des principes permettant de maintenir la distance entre un fonctionnaire doté d'une expertise et un citoyen qui n'a pas besoin d’avoir cette connaissance dans la vie quotidienne. Un superviseur peut être guidé par morgue envers ses subordonnés. En effet, un vaillant superviseur suppose que les employés doivent suivre ses instructions en raison de leur subordination, même lorsqu'elles sont incompatibles avec les modèles culturels acceptés, décentes ou oscillent à la frontière du règlement du travail et de la loi. Un fonctionnaire peut s'avérer plein de la morgue envers un citoyen. Cela s'exprime par le traitement condescendant envers des citoyens, le manque d'impartialité dans la prise de décision, le non-respect de l'intérêt personnel ou social du citoyen dans le processus de prise de décision, la manque de coeur et les tentatives de rendre les citoyens dépendants des institutions. L’arrogance des professions de confiance du public est exprimée par de longues files d'attente des citoyens, le traitement d'un citoyen dans une institution publique comme un intrus, l'incompétence des employés de bureau, des médecins ou des juristes, la multiplication des règlements bureaucratiques, l'utilisation d'un jargon officiel, médical ou juridique lors des conversations avec les clients / citoyens ou même le refus de traitement d’un dossier. L’arrogance de l'institution envers le citoyen se manifeste par la violation des principes de justice sociale, par la moquerie de leurs fondements, par la tromperie les citoyens, par le freinage de la loi sous le feu des projecteursavec une conviction totale de l'impunité. L’arrogance des institutions à l'égard du citoyen se traduisent également par un manque d'économie. L’absence de critères clairs pour le contrôle externe et un contrôle interne défaillant ou inexistant, le système peu clair de recrutement, de sélection, de promotion et de sanction des employés dans l’administration publique et enfin le manque de stabilité professionnelle sont propices à une augmentation de l’arrogance et des chaussures (principalement parmi les cadres moyens de l’administration publique, mais cela vaut également pour les cadres supérieurs). [J. Itrich-Drabarek].

Aktualna wersja na dzień 10:56, 12 lut 2020

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Tekst źródłowy komunikatu (Buta i arogancja)
'''BUTA I AROGANCJA''' – buta urzędu polega według Michaela Walzera na roszczeniu sobie prawa do dominacji, wynikającego z tego, że wraz z urzędem rozdzielane są dobra w postaci zaszczytów i statusu, władzy i prerogatywy, bogactwa i komfortu. Źródłem b. administracji publicznej są uwarunkowania prawne i polityczne, niski poziom wykształcenia społeczeństwa oraz brak kultury organizacyjnej urzędu. Przyczyną buty i arogancji może być paradoksalnie profesjonalizm, który jest jedną z przesłanek utrzymywania się dystansu między urzędnikiem wyposażonym w ekspercką wiedzę a obywatelem, któremu ta wiedza nie jest w codziennym życiu potrzebna. B. może kierować się przełożony wobec podwładnych – butny przełożony zakłada, że z racji podległości służbowej pracownicy winni wykonywać jego polecenia, nawet gdy są niezgodne z przyjętymi wzorcami kulturowymi, dobrymi obyczajami czy oscylują na granicy regulaminu pracy i prawa. Butny może okazać się funkcjonariusz publiczny wobec obywatela. B. ta wyraża się w protekcjonalnym traktowaniu obywateli, braku bezstronności w podejmowaniu decyzji, pomijaniu interesu osobistego obywatela lub społecznego w procesie wydawania decyzji, bezduszności, próbach uzależniania obywateli od instytucji. A. zawodów zaufania publicznego wyraża się długim oczekiwaniem obywateli w kolejkach, traktowaniem obywatela w instytucji publicznej jak intruza, niekompetencją urzędniczą, lekarską czy prawniczą, mnożeniem przepisów biurokratycznych, posługiwaniem się żargonem urzędniczym, medycznym lub prawniczym w rozmowie z klientami/obywatelami czy wręcz odmową prowadzenia sprawy. A. instytucji wobec obywatela przejawia się w łamaniu zasad sprawiedliwości społecznej, drwieniu z ich podstaw, oszukiwaniu obywateli, łamaniu prawa w świetle reflektorów – w przeświadczeniu o całkowitej bezkarności. A. instytucji wobec obywatela wyraża się także brakiem gospodarności. Brak jasnych kryteriów kontroli zewnętrznej oraz źle funkcjonująca lub nieistniejąca kontrola wewnętrzna, niejasny system rekrutacji, selekcji, awansu i kar pracowników w administracji publicznej, wreszcie brak stabilności zawodowej sprzyjają wzrostowi arogancji i buty (głównie wśród średniego szczebla kierowniczego w administracji publicznej, ale dotyczy to także wyższych stanowisk) [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Jolanta_Itrich-Drabarek J. Itrich-Drabarek] ].
Tłumaczenie"MORGUE ET AROGANCE" - Selon Michael Walzer, la morgue des fonctionnaires consiste à revendiquer le droit de domination, ce qui résulte du fait qu’avec le poste de fonctionnaire sont distribués des biens sous forme d’honneur et de statut, de pouvoir et de prérogative, de richesse et de confort. La morgue et l’arrogance des employés de l’administration publique tire sa source des conditions juridiques et politiques, du faible niveau d’éducation de la société et de l’absence de culture organisationnelle dans les bureaux. La raison du comportement plein de la morgue peut être paradoxalement le professionnalisme, qui est l'un des principes permettant de maintenir la distance entre un fonctionnaire doté d'une expertise et un citoyen qui n'a pas besoin d’avoir cette connaissance dans la vie quotidienne. Un superviseur peut être guidé par morgue envers ses subordonnés. En effet, un vaillant superviseur suppose que les employés doivent suivre ses instructions en raison de leur subordination, même lorsqu'elles sont incompatibles avec les modèles culturels acceptés, décentes ou oscillent à la frontière du règlement du travail et de la loi. Un fonctionnaire peut s'avérer plein de la morgue envers un citoyen. Cela s'exprime par le traitement condescendant envers des citoyens, le manque d'impartialité dans la prise de décision, le non-respect de l'intérêt personnel ou social du citoyen dans le processus de prise de décision, la manque de coeur et les tentatives de rendre les citoyens dépendants des institutions. L’arrogance des professions de confiance du public est exprimée par de longues files d'attente des citoyens, le traitement d'un citoyen dans une institution publique comme un intrus, l'incompétence des employés de bureau, des médecins ou des juristes, la multiplication des règlements bureaucratiques, l'utilisation d'un jargon officiel, médical ou juridique lors des conversations avec les clients / citoyens ou même le refus de traitement d’un dossier. L’arrogance de l'institution envers le citoyen se manifeste par la violation des principes de justice sociale, par la moquerie de leurs fondements, par la tromperie les citoyens, par le freinage de la loi sous le feu des projecteurs,  avec une conviction totale de l'impunité. L’arrogance des institutions à l'égard du citoyen se traduisent également par un manque d'économie. L’absence de critères clairs pour le contrôle externe et un contrôle interne défaillant ou inexistant, le système peu clair de recrutement, de sélection, de promotion et de sanction des employés dans l’administration publique et enfin le manque de stabilité professionnelle sont propices à une augmentation de l’arrogance et des chaussures (principalement parmi les cadres moyens de l’administration publique, mais cela vaut également pour les cadres supérieurs). [J. Itrich-Drabarek].

"MORGUE ET AROGANCE" - Selon Michael Walzer, la morgue des fonctionnaires consiste à revendiquer le droit de domination, ce qui résulte du fait qu’avec le poste de fonctionnaire sont distribués des biens sous forme d’honneur et de statut, de pouvoir et de prérogative, de richesse et de confort. La morgue et l’arrogance des employés de l’administration publique tire sa source des conditions juridiques et politiques, du faible niveau d’éducation de la société et de l’absence de culture organisationnelle dans les bureaux. La raison du comportement plein de la morgue peut être paradoxalement le professionnalisme, qui est l'un des principes permettant de maintenir la distance entre un fonctionnaire doté d'une expertise et un citoyen qui n'a pas besoin d’avoir cette connaissance dans la vie quotidienne. Un superviseur peut être guidé par morgue envers ses subordonnés. En effet, un vaillant superviseur suppose que les employés doivent suivre ses instructions en raison de leur subordination, même lorsqu'elles sont incompatibles avec les modèles culturels acceptés, décentes ou oscillent à la frontière du règlement du travail et de la loi. Un fonctionnaire peut s'avérer plein de la morgue envers un citoyen. Cela s'exprime par le traitement condescendant envers des citoyens, le manque d'impartialité dans la prise de décision, le non-respect de l'intérêt personnel ou social du citoyen dans le processus de prise de décision, la manque de coeur et les tentatives de rendre les citoyens dépendants des institutions. L’arrogance des professions de confiance du public est exprimée par de longues files d'attente des citoyens, le traitement d'un citoyen dans une institution publique comme un intrus, l'incompétence des employés de bureau, des médecins ou des juristes, la multiplication des règlements bureaucratiques, l'utilisation d'un jargon officiel, médical ou juridique lors des conversations avec les clients / citoyens ou même le refus de traitement d’un dossier. L’arrogance de l'institution envers le citoyen se manifeste par la violation des principes de justice sociale, par la moquerie de leurs fondements, par la tromperie les citoyens, par le freinage de la loi sous le feu des projecteurs, avec une conviction totale de l'impunité. L’arrogance des institutions à l'égard du citoyen se traduisent également par un manque d'économie. L’absence de critères clairs pour le contrôle externe et un contrôle interne défaillant ou inexistant, le système peu clair de recrutement, de sélection, de promotion et de sanction des employés dans l’administration publique et enfin le manque de stabilité professionnelle sont propices à une augmentation de l’arrogance et des chaussures (principalement parmi les cadres moyens de l’administration publique, mais cela vaut également pour les cadres supérieurs). [J. Itrich-Drabarek].

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