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'''GOUVERNANCE DES RÉSEAUX''' - l'un des courants de la co-gouvernance: il s'agit d'un processus d'expression horizontale relativement stable d'acteurs interdépendants, mais autonomes sur le plan opérationnel, qui interagissent par le biais de négociations. Ce processus se déroule dans le squelette régulé, normatif, cognitif et imaginaire et se régule lui-même dans les limites imposées par des forces extérieures. Wsp.s. est une réponse à la fragmentation, à la globalité et à la dynamique élevée des processus sociaux contemporains. Wsp.s. Il n’existe pas de forme empirique unique, elle peut être formalisée ou dominée par des contacts informels et informels. Les premiers exemples sont les réseaux basés sur la hiérarchie, le légalisme, la planification, la gestion et l’allocation structurée de ressources, le second est le fondement de la confiance, de la discussion, de la collégialité et du changement non structuré. Wsp.s. il peut être mis en œuvre au sein d'une organisation ou entre différentes organisations, il peut être construit de bas en haut ou créé d'en haut, être ouvert ou fermé, temporaire ou permanent, avoir une portée limitée ou couvrir l'ensemble de la société. Wsp.s. il peut également contribuer à la formulation et à la création de politiques ou directement à leur mise en œuvre. La mise en œuvre concrète de ses principes affecte les rôles des politiciens, des fonctionnaires et des citoyens. Son problème important est le manque de transparence dans le fonctionnement du réseau. L'augmentation du nombre d'entités et de parties prenantes impliquées dans le processus de (co) gouvernance signifie souvent que, au lieu de devenir plus pluraliste et démocratique, il n'est ni très transparent ni compliqué. Nurt et al. il acquit une popularité particulière dans les pays scandinaves (→ co-gouvernement) [K. Radzik-Maruszak].
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"GOUVERNANCE EN RÉSEAUX" - l'un des courants de la co-gouvernance: il s'agit d'un processus d'expression horizontale relativement stable d'acteurs interdépendants, mais autonomes sur le plan opérationnel, qui interagissent par le biais de négociations. Ce processus se déroule dans le squelette régulé, normatif, cognitif et imaginaire et se régule lui-même dans les limites imposées par des forces extérieures. La gouvernance en réseau est une réponse à la fragmentation, à la globalité et à la dynamique élevée des processus sociaux contemporains. La gouvernance en réseau n’existe pas de forme empirique unique, elle peut être formalisée ou dominée par des contacts informels et informels. Les premiers exemples sont les réseaux basés sur la hiérarchie, le légalisme, la planification, la gestion et l’allocation structurée de ressources, le second est le fondement de la confiance, de la discussion, de la collégialité et du changement non structuré. La gouvernance en réseau peut être mise en œuvre au sein d'une organisation ou entre différentes organisations, il peut être construit de bas en haut ou créé d'en haut, être ouvert ou fermé, temporaire ou permanent, avoir une portée limitée ou couvrir l'ensemble de la société. La gouvernance en réseau peut également contribuer à la formulation et à la création de politiques ou directement à leur mise en œuvre. La mise en œuvre concrète de ses principes affecte les rôles des politiciens, des fonctionnaires et des citoyens. Son problème important est le manque de transparence dans le fonctionnement du réseau. L'augmentation du nombre d'entités et de parties prenantes impliquées dans le processus de (co) gouvernance signifie souvent que, au lieu de devenir plus pluraliste et démocratique, il n'est ni très transparent ni compliqué. La gouvernance en réseau est de popularité particulière dans les pays scandinaves (→ co-gouvernement). [K. Radzik-Maruszak].
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Sources: J. Torfing, Teoria zarządzania sieciowego: w stronę drugiej generacji, „Zarządzanie Publiczne” 2010, nr 3 ■ J. Torfing, Governance Networks, [w:] Governance, red. D. Levi-Faur, Oxford 2012.

Aktualna wersja na dzień 20:24, 10 lut 2020

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Tekst źródłowy komunikatu (Współrządzenie sieciowe)
'''WSPÓŁRZĄDZENIE SIECIOWE''' (ang. ''network governance'') – jeden z nurtów współrządzenia: jest procesem względnie stabilnego, horyzontalnego wyrażania się współzależnych, ale operacyjnie autonomicznych aktorów, oddziałujących na siebie poprzez negocjacje. Proces ten odbywa się w obrębie uregulowanego, normatywnego, poznawczego i wyobrażeniowego szkieletu i (samo)reguluje się w ramach ograniczeń ustalonych przez siły zewnętrzne. Wsp.s. stanowi odpowiedź na fragmentaryzację, kompleksowość oraz wysoką dynamikę zachodzących współcześnie procesów społecznych. Wsp.s. nie ma jednej empirycznej formy, może być ściśle sformalizowane lub też zdominowane przez luźne, nieformalne kontakty. Przykładem pierwszego są sieci oparte na hierarchii, legalizmie, planowaniu, zarządzaniu i ustrukturyzowanej alokacji zasobów, drugiego – te mające za podwalinę zaufanie, dyskusję, kolegialność i nieustrukturyzowane zmiany. Wsp.s. może być realizowane wewnątrz organizacji lub pomiędzy różnymi organizacjami, może być budowane oddolnie lub kreowane odgórnie, mieć charakter otwarty lub zamknięty, tymczasowy lub stały, mieć ograniczony zakres lub obejmować całe społeczeństwo. Wsp.s. może także przyczyniać się do formułowania i kreowania polityk albo też bezpośrednio do ich implementacji. Praktyczne wdrożenie jego zasad wpływa na role pełnione przez polityków, urzędników i obywateli. Jego istotnym problemem jest brak dostatecznej przejrzystości funkcjonowania sieci. Wzrost liczby podmiotów i interesariuszy zaangażowanych w proces (współ)rządzenia często sprawia, iż ten – zamiast stawać się bardziej pluralistyczny i demokratyczny – jest mało transparenty i skomplikowany. Nurt wsp.s. szczególną popularność zdobył w państwach skandynawskich (→ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Współrządzenie współrządzenie]) [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Katarzyna_Radzik-Maruszak K. Radzik-Maruszak] ].
Tłumaczenie"GOUVERNANCE EN RÉSEAUX" - l'un des courants de la co-gouvernance: il s'agit d'un processus d'expression horizontale relativement stable d'acteurs interdépendants, mais autonomes sur le plan opérationnel, qui interagissent par le biais de négociations. Ce processus se déroule dans le squelette régulé, normatif, cognitif et imaginaire et se régule lui-même dans les limites imposées par des forces extérieures. La gouvernance en réseau est une réponse à la fragmentation, à la globalité et à la dynamique élevée des processus sociaux contemporains. La gouvernance en réseau n’existe pas de forme empirique unique, elle peut être formalisée ou dominée par des contacts informels et informels. Les premiers exemples sont les réseaux basés sur la hiérarchie, le légalisme, la planification, la gestion et l’allocation structurée de ressources, le second est le fondement de la confiance, de la discussion, de la collégialité et du changement non structuré. La gouvernance en réseau peut être mise en œuvre au sein d'une organisation ou entre différentes organisations, il peut être construit de bas en haut ou créé d'en haut, être ouvert ou fermé, temporaire ou permanent, avoir une portée limitée ou couvrir l'ensemble de la société. La gouvernance en réseau peut également contribuer à la formulation et à la création de politiques ou directement à leur mise en œuvre. La mise en œuvre concrète de ses principes affecte les rôles des politiciens, des fonctionnaires et des citoyens. Son problème important est le manque de transparence dans le fonctionnement du réseau. L'augmentation du nombre d'entités et de parties prenantes impliquées dans le processus de (co) gouvernance signifie souvent que, au lieu de devenir plus pluraliste et démocratique, il n'est ni très transparent ni compliqué. La gouvernance en réseau est de popularité particulière dans les pays scandinaves (→ co-gouvernement). [K. Radzik-Maruszak]. 
Sources: J. Torfing, Teoria zarządzania sieciowego: w stronę drugiej generacji, „Zarządzanie Publiczne” 2010, nr 3 ■ J. Torfing, Governance Networks, [w:] Governance, red. D. Levi-Faur, Oxford 2012.

"GOUVERNANCE EN RÉSEAUX" - l'un des courants de la co-gouvernance: il s'agit d'un processus d'expression horizontale relativement stable d'acteurs interdépendants, mais autonomes sur le plan opérationnel, qui interagissent par le biais de négociations. Ce processus se déroule dans le squelette régulé, normatif, cognitif et imaginaire et se régule lui-même dans les limites imposées par des forces extérieures. La gouvernance en réseau est une réponse à la fragmentation, à la globalité et à la dynamique élevée des processus sociaux contemporains. La gouvernance en réseau n’existe pas de forme empirique unique, elle peut être formalisée ou dominée par des contacts informels et informels. Les premiers exemples sont les réseaux basés sur la hiérarchie, le légalisme, la planification, la gestion et l’allocation structurée de ressources, le second est le fondement de la confiance, de la discussion, de la collégialité et du changement non structuré. La gouvernance en réseau peut être mise en œuvre au sein d'une organisation ou entre différentes organisations, il peut être construit de bas en haut ou créé d'en haut, être ouvert ou fermé, temporaire ou permanent, avoir une portée limitée ou couvrir l'ensemble de la société. La gouvernance en réseau peut également contribuer à la formulation et à la création de politiques ou directement à leur mise en œuvre. La mise en œuvre concrète de ses principes affecte les rôles des politiciens, des fonctionnaires et des citoyens. Son problème important est le manque de transparence dans le fonctionnement du réseau. L'augmentation du nombre d'entités et de parties prenantes impliquées dans le processus de (co) gouvernance signifie souvent que, au lieu de devenir plus pluraliste et démocratique, il n'est ni très transparent ni compliqué. La gouvernance en réseau est de popularité particulière dans les pays scandinaves (→ co-gouvernement). [K. Radzik-Maruszak]. Sources: J. Torfing, Teoria zarządzania sieciowego: w stronę drugiej generacji, „Zarządzanie Publiczne” 2010, nr 3 ■ J. Torfing, Governance Networks, [w:] Governance, red. D. Levi-Faur, Oxford 2012.

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