Najwyższa Izba Kontroli/fr: Różnice pomiędzy wersjami

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'''NAJWYŻSZA IZBA KONTROLI''' (NIK) – konstytucyjny naczelny organ kontroli państwowej, który podlega sejmowi i działa na zasadach kolegialności. NIK kontroluje działalność organów administracji rządowej, Narodowego Banku Polskiego, państwowych osób prawnych i innych państwowych jednostek organizacyjnych z punktu widzenia legalności, gospodarności, celowości i rzetelności. Może kontrolować działalność organów samorządu terytorialnego, komunalnych osób prawnych i innych komunalnych jednostek organizacyjnych z punktu widzenia legalności, gospodarności i rzetelności. Może również kontrolować, z punktu widzenia legalności i gospodarności, działalność innych jednostek organizacyjnych i podmiotów gospodarczych w zakresie, w jakim wykorzystują one majątek lub środki państwowe lub komunalne oraz wywiązują się z zobowiązań finansowych na rzecz państwa. NIK przedstawia sejmowi coroczne sprawozdanie ze swojej działalności, a także analizę wykonania budżetu państwa i założeń polityki pieniężnej, opinie w przedmiocie [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Absolutorium absolutorium] dla rady ministrów oraz informacje o wynikach kontroli, wnioski i wystąpienia. Zgodnie z prawem w ramach sprawowanej kontroli pracownicy NIK mają prawo swobodnego wstępu do obiektów i pomieszczeń jednostek kontrolowanych, wglądu do wszelkich dokumentów, przeprowadzania oględzin, wzywania i przesłuchiwania świadków i żądania wyjaśnień. Mają też obowiązek podejmowania i przeprowadzania kontroli na zlecenie sejmu lub jego organów. Na czele NIK stoi prezes powoływany przez sejm za zgodą senatu na sześć lat z możliwością jednokrotnego ponownego powołania (→[http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Kontrola kontrola]) [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Izabela_Malinowska I. Malinowska] ].
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'''LA PLUS HAUTE CHAMBRE DE CONTRÔLE (NIK)''' - un organe constitutionnel suprême de contrôle de l'État, qui est soumis au Sejm et fonctionne sur la base de la collégialité. La Cour des comptes suprême contrôle les activités des organes de l'administration publique, de la Banque nationale de Pologne, des personnes morales et autres unités organisationnelles de l'État, du point de vue de la légalité, de l'économie, de la détermination et de la fiabilité. Il peut contrôler les activités des administrations locales, des entités juridiques municipales et d'autres unités organisationnelles municipales du point de vue de la légalité, de l'économie et de la fiabilité. Il peut également contrôler, du point de vue de la légalité et de l'économie, les activités d'autres unités organisationnelles et entités commerciales dans la mesure où elles utilisent des biens ou des fonds de l'État ou des municipalités et s'acquittent de leurs obligations financières envers l'État. La NIK présente au Sejm un rapport annuel sur ses activités, ainsi qu'une analyse de la mise en œuvre des hypothèses relatives au budget de l'État et à la politique monétaire, des avis de décharge au conseil des ministres, ainsi que des informations sur les résultats de l'audit, les conclusions et les discours. Conformément à la loi, dans le cadre de l'audit, les employés de NIK ont le droit d'accéder librement aux installations et aux locaux des entités auditées, d'inspecter tous les documents, de procéder à des inspections, d'appeler et d'entendre des témoins et de demander des explications. Ils sont également tenus de procéder à des contrôles sur commande du Sejm ou de ses organes. La Cour suprême des comptes est dirigée par un président nommé par le Sejm avec le consentement du Sénat pour six ans, avec la possibilité d'être réélu une fois (→ contrôle) [I. Malinowska].
  
 
'''Literatura''': L. Garlicki, ''Polskie prawo konstytucyjne. Zarys wykładu'', Warszawa 2016.
 
'''Literatura''': L. Garlicki, ''Polskie prawo konstytucyjne. Zarys wykładu'', Warszawa 2016.

Wersja z 12:46, 28 paź 2019

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LA PLUS HAUTE CHAMBRE DE CONTRÔLE (NIK) - un organe constitutionnel suprême de contrôle de l'État, qui est soumis au Sejm et fonctionne sur la base de la collégialité. La Cour des comptes suprême contrôle les activités des organes de l'administration publique, de la Banque nationale de Pologne, des personnes morales et autres unités organisationnelles de l'État, du point de vue de la légalité, de l'économie, de la détermination et de la fiabilité. Il peut contrôler les activités des administrations locales, des entités juridiques municipales et d'autres unités organisationnelles municipales du point de vue de la légalité, de l'économie et de la fiabilité. Il peut également contrôler, du point de vue de la légalité et de l'économie, les activités d'autres unités organisationnelles et entités commerciales dans la mesure où elles utilisent des biens ou des fonds de l'État ou des municipalités et s'acquittent de leurs obligations financières envers l'État. La NIK présente au Sejm un rapport annuel sur ses activités, ainsi qu'une analyse de la mise en œuvre des hypothèses relatives au budget de l'État et à la politique monétaire, des avis de → décharge au conseil des ministres, ainsi que des informations sur les résultats de l'audit, les conclusions et les discours. Conformément à la loi, dans le cadre de l'audit, les employés de NIK ont le droit d'accéder librement aux installations et aux locaux des entités auditées, d'inspecter tous les documents, de procéder à des inspections, d'appeler et d'entendre des témoins et de demander des explications. Ils sont également tenus de procéder à des contrôles sur commande du Sejm ou de ses organes. La Cour suprême des comptes est dirigée par un président nommé par le Sejm avec le consentement du Sénat pour six ans, avec la possibilité d'être réélu une fois (→ contrôle) [I. Malinowska].

Literatura: L. Garlicki, Polskie prawo konstytucyjne. Zarys wykładu, Warszawa 2016.

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