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'''WSPÓŁRZĄDZENIE''' (ang. ''governance'') – paradygmat naukowy zakładający, że na skutek skomplikowania współczesnych procesów społecznych zasadne jest odejście od rządzenia tradycyjnego, opartego na zasadach hierarchii i biurokracji, na rzecz podejmowania decyzji w toku negocjacji z innymi podmiotami, aktorami i interesariuszami. Popularność zdobył w drugiej połowie XX w. Wsp. może być zdefiniowane jako proces sterowania sieciami niehierarchicznych współzależności występujących między aktorami publicznymi i niepublicznymi, służący do koordynacji działań zbiorowych i rozwiązywania kolektywnych problemów. Wsp. postrzegać można także jako strukturę, mechanizm lub strategię. Istnieje kilka zasadniczych nurtów wsp. Pierwszy kładzie nacisk na współpracę, współzależność, partnerstwo i sieciowość (''collaborative, interactive'' i ''network governance''). Drugi akcentuje podmioty relacji, w tym organy przedstawicielskie i obywateli, lub też relacje zachodzące między nimi na poszczególnych poziomach (''democratic, participatory'' i ''multi-level governance''). Trzeci nurt akcentuje metody i narzędzia kształtowania relacji, w tym akty normatywne i inne dyrektywne działania lub interwencje państwa (''regulatory'' i ''metagovernance''). Dla nurtu czwartego zasadniczy jest zasięg relacji, od lokalnego do globalnego (''local, metropolitan, regional, European'' i ''global governance''). Piąty – kładzie nacisk na interakcje zachodzące między jednostką a środowiskiem czy gospodarką (''environmental'' i ''economic governance''). W szóstym nurcie punktem odniesienia jest kategoria normatywna lub hiperpluralistyczna rzeczywistość (''good, new public governance''). Praktyczna realizacja zasad wsp. jest problematyczna m.in. ze względu na skomplikowanie rządzenia sieciowego oraz niedostateczną odpowiedzialność i rozliczalność interesariuszy – prywatnych i społecznych – biorących udział w procesie decyzyjnym [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Katarzyna_Radzik-Maruszak K. Radzik-Maruszak] ].  
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'''COORDINATION''' - paradigme scientifique partant du principe qu'en raison de la complexité des processus sociaux contemporains, il est justifié de s’écarter du gouvernement traditionnel, fondé sur les principes de hiérarchie et de bureaucratie, pour prendre des décisions au cours de négociations avec d’autres entités, acteurs et parties prenantes. Il a gagné en popularité dans la seconde moitié du XXe siècle.La coopération peut être définie comme le processus de contrôle des réseaux d'interdépendance non hiérarchiques entre acteurs publics et non publics, utilisé pour coordonner des actions collectives et résoudre des problèmes collectifs. Les collègues peuvent également être considérés comme une structure, un mécanisme ou une stratégie. Il existe plusieurs tendances principales: la première met l’accent sur la collaboration, l’interdépendance, les partenariats et la mise en réseau (gouvernance collaborative, interactive et en réseau). La seconde met l’accent sur les relations, y compris les organes représentatifs et les citoyens, ou les relations entre eux au niveau individuel (gouvernance démocratique, participative et à plusieurs niveaux). La troisième tendance met l’accent sur les méthodes et les outils permettant de façonner les relations, notamment les actes normatifs et autres actions directives ou interventions de l’État (régulateurs et métagouvernance). Pour la quatrième tendance, la gamme des relations, du local au global (gouvernance locale, métropolitaine, régionale, européenne et mondiale) est cruciale. Cinquièmement - souligne l'interaction entre l'individu et l'environnement ou l'économie (gouvernance environnementale et économique). Dans le sixième courant, le point de référence est la catégorie normative ou réalité hyperpluraliste (bonne, nouvelle gouvernance publique). L’application pratique des principes de coopération pose problème, entre autres en raison de la complexité de la gouvernance du réseau et de la responsabilité insuffisante des parties prenantes - privées et sociales - impliquées dans le processus de prise de décision [K. Radzik-Maruszak].  
  
 
'''Literatura''': ''Governance'', red. D. Levi-Faur, Oxford 2012 ■ A. Pawłowska, ''Governance jako podejście teoretyczne – kilka kwestii spornych'', „Polityka i Społeczeństwo” 2016, nr 3 ■ ''Współzarządzanie publiczne'', red. S. Mazur, Warszawa 2015.
 
'''Literatura''': ''Governance'', red. D. Levi-Faur, Oxford 2012 ■ A. Pawłowska, ''Governance jako podejście teoretyczne – kilka kwestii spornych'', „Polityka i Społeczeństwo” 2016, nr 3 ■ ''Współzarządzanie publiczne'', red. S. Mazur, Warszawa 2015.

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COORDINATION - paradigme scientifique partant du principe qu'en raison de la complexité des processus sociaux contemporains, il est justifié de s’écarter du gouvernement traditionnel, fondé sur les principes de hiérarchie et de bureaucratie, pour prendre des décisions au cours de négociations avec d’autres entités, acteurs et parties prenantes. Il a gagné en popularité dans la seconde moitié du XXe siècle.La coopération peut être définie comme le processus de contrôle des réseaux d'interdépendance non hiérarchiques entre acteurs publics et non publics, utilisé pour coordonner des actions collectives et résoudre des problèmes collectifs. Les collègues peuvent également être considérés comme une structure, un mécanisme ou une stratégie. Il existe plusieurs tendances principales: la première met l’accent sur la collaboration, l’interdépendance, les partenariats et la mise en réseau (gouvernance collaborative, interactive et en réseau). La seconde met l’accent sur les relations, y compris les organes représentatifs et les citoyens, ou les relations entre eux au niveau individuel (gouvernance démocratique, participative et à plusieurs niveaux). La troisième tendance met l’accent sur les méthodes et les outils permettant de façonner les relations, notamment les actes normatifs et autres actions directives ou interventions de l’État (régulateurs et métagouvernance). Pour la quatrième tendance, la gamme des relations, du local au global (gouvernance locale, métropolitaine, régionale, européenne et mondiale) est cruciale. Cinquièmement - souligne l'interaction entre l'individu et l'environnement ou l'économie (gouvernance environnementale et économique). Dans le sixième courant, le point de référence est la catégorie normative ou réalité hyperpluraliste (bonne, nouvelle gouvernance publique). L’application pratique des principes de coopération pose problème, entre autres en raison de la complexité de la gouvernance du réseau et de la responsabilité insuffisante des parties prenantes - privées et sociales - impliquées dans le processus de prise de décision [K. Radzik-Maruszak].

Literatura: Governance, red. D. Levi-Faur, Oxford 2012 ■ A. Pawłowska, Governance jako podejście teoretyczne – kilka kwestii spornych, „Polityka i Społeczeństwo” 2016, nr 3 ■ Współzarządzanie publiczne, red. S. Mazur, Warszawa 2015.

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