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'''PRINCIPE DU SUBSIDIARISME''' (Latin ''subsidiarius'', ''subsidiium'' - réserve, aide, soutien) - l’une des caractéristiques politiques des États démocratiques modernes, son essence est mieux déterminée par la déclaration suivante: autant de pouvoirs que nécessaire, de liberté et d’État autant que nécessaire autant de société que possible. Zas.pom. est cité dans le préambule de la constitution polonaise. C'est l'un des principes systémiques fondamentaux de l'UE, qui est inscrit dans le traité sur l'Union européenne et le protocole n ° 2 sur l'application des principes de subsidiarité et de proportionnalité (annexe du TUE et du traité sur le fonctionnement de l'UE). Le concept de subsidiarité est dérivé de la philosophie. On le trouve dans les écrits des penseurs: Aristote, Thomas d'Aquin, Althusius, Hegel, Tocqueville, Proudhon et Kettler. Elle était également présente dans la doctrine sociale de l'Église, dans l'encyclique Quadragesimo anno du pape Pie XI, qui stipulait que l'individu devait faire ce qu'il pouvait, mais que, pour une raison quelconque, il ne pouvait le faire, il devait alors bénéficier du soutien et de l'aide de l'État. En sciences juridiques, la subsidiarité signifie que les droits et libertés des individus sont la source de tous les droits et obligations de la communauté. En science politique, soutien s'applique à la spécificité du pouvoir politique. Le pouvoir subsidiaire devrait aider les membres de la société à atteindre ses objectifs, en évitant d'utiliser la violence dans la gestion. Selon support les décisions concernant l'individu et sa famille doivent être prises au niveau le plus proche possible du citoyen. Son essence est la coopération et la complémentarité des citoyens et des institutions publiques, ainsi que des autorités (à différents niveaux), qui exercent des fonctions de soutien en relation avec les activités des entités qui l’ont établie, et qui s’acquittent uniquement des tâches qui ne peuvent être efficacement accomplies par des structures organisationnelles inférieures gouvernement local ou par les citoyens eux-mêmes, agissant individuellement ou par l’intermédiaire des institutions de la société civile. Zas.pom. vise à rationaliser et à améliorer le bien public en impliquant les organisations civiques dans la mise en œuvre des tâches publiques. Sa mise en œuvre permet la participation au processus de décision aux niveaux local, régional et national ainsi que la participation des citoyens à la cogestion et à la cogouvernance (→ participation sociale;
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"PRINCIPE DE SUBSIDIARITÉ" (Latin subsidiarius, subsidiium - réserve, aide, soutien) - l’une des caractéristiques politiques des États démocratiques modernes, son essence est mieux déterminée par la déclaration suivante: autant de pouvoirs que nécessaire, autant de liberté que possible, autant d’État que nécessaire autant de société que possible. Le principe de subsidiarité est cité dans la préambule de la constitution polonaise. C'est l'un des principes systémiques fondamentaux de l'UE, qui est inscrit dans le Traité sur l'Union européenne et le protocole no. 2 sur l'application des principes de subsidiarité et de proportionnalité (annexe du TUE et du traité sur le fonctionnement de l'UE). Le concept de subsidiarité est dérivé de la philosophie. On le trouve dans les écrits des penseurs comme Aristote, Thomas d'Aquin, Althusius, Hegel, Tocqueville, Proudhon et Kettler. Elle était également présente dans la doctrine sociale de l'église, dans l'encyclique Quadragesimo anno du Pape Pie XI, qui stipulait que l'individu devait faire ce qu'il pouvait, mais que, pour une raison quelconque, il ne pouvait le faire, il devait alors bénéficier du soutien et de l'aide de l'État. En sciences juridiques, la subsidiarité signifie que les droits et libertés des individus sont la source de tous les droits et obligations de la communauté. En science politique, le soutien s'applique à la spécificité du pouvoir politique. Le pouvoir subsidiaire devrait aider les membres de la société à atteindre ses objectifs, en évitant d'utiliser la violence dans la gestion. Selon le support les décisions concernant l'individu et sa famille doivent être prises au niveau le plus proche possible du citoyen. Son essence est la coopération et la complémentarité des citoyens et des institutions publiques, ainsi que des autorités (à différents niveaux), qui exercent des fonctions de soutien en relation avec les activités des entités qui l’ont établie, et qui s’acquittent uniquement des tâches qui ne peuvent être efficacement accomplies par des structures organisationnelles inférieures (gouvernement local) ou par les citoyens eux-mêmes, agissant individuellement ou par l’intermédiaire des institutions de la société civile. Le principe de subsidiarité vise à rationaliser et à améliorer le bien public en impliquant les organisations civiques dans la mise en œuvre des tâches publiques. Sa mise en œuvre permet la participation au processus de décision aux niveaux local, régional et national ainsi que la participation des citoyens à la cogestion et à la cogouvernance (→ participation sociale;
gouvernement local; gouvernance participative). Dans l'Union européenne, la subsidiarité fait référence à la répartition des tâches entre les organes de l'UE et les administrations nationales des États membres (y compris les autorités régionales et locales) et à la législation de l'UE en termes de fond et de forme. Selon la règle selon laquelle chaque décision doit être prise au niveau décisionnel le plus bas (le plus proche du citoyen), seules les décisions et les actions doivent être prises au niveau supranational qui garantissent une efficacité et une efficacité accrues résultant d'une mise en œuvre conjointe plutôt que si elles étaient laissées à la compétence exclusive des gouvernements (régions, municipalités) des États membres. Conformément aux exigences de subsidiarité, l'Union n'agit que si et dans la mesure où les objectifs de l'action envisagée ne peuvent pas être atteints de manière suffisante par les États membres, aux niveaux central, régional et local, et si, en raison de leur taille ou de leur impact l’action proposée, il est possible de mieux les réaliser au niveau de l’Union [A. Bejma, K. Tomaszewski].
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gouvernement local; gouvernance participative). Dans l'Union européenne, la subsidiarité fait référence à la répartition des tâches entre les organes de l'UE et les administrations nationales des États membres (y compris les autorités régionales et locales) et à la législation de l'UE en termes de fond et de forme. Selon la règle selon laquelle chaque décision doit être prise au niveau décisionnel le plus bas (le plus proche du citoyen), seules les décisions et les actions doivent être prises au niveau supranational qui garantissent une efficacité et une efficacité accrues résultant d'une mise en œuvre conjointe plutôt que si elles étaient laissées à la compétence exclusive des gouvernements (régions, municipalités) des États membres. Conformément aux exigences de subsidiarité, l'Union n'agit que si et dans la mesure où les objectifs de l'action envisagée ne peuvent pas être atteints de manière suffisante par les États membres, aux niveaux central, régional et local, et si, en raison de leur taille ou de leur impact l’action proposée, il est possible de mieux les réaliser au niveau de l’Union. [A. Bejma, K. Tomaszewski].

Aktualna wersja na dzień 22:01, 12 lut 2020

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Tekst źródłowy komunikatu (Zasada pomocniczości (subsydiaryzm))
'''ZASADA POMOCNICZOŚCI (SUBSYDIARYZM)''' (łac. ''subsidiarius'', ''subsidium'' – rezerwa, pomoc, wsparcie) – jedna z cech ustrojowych współczesnych państw demokratycznych, jej istotę określa najlepiej stwierdzenie: tyle władzy, ile konieczne, tyle wolności, ile możliwe oraz tyle państwa, ile konieczne, tyle społeczeństwa, ile możliwe. Zas.pom. jest przywołana w preambule do polskiej konstytucji. Jest jedną z podstawowych zasad ustrojowych UE, która jest zapisana w Traktacie o UE oraz w Protokole nr 2 w sprawie stosowania zasad pomocniczości i proporcjonalności (zał. do TUE i Traktatu o funkcjonowaniu UE). Koncepcja subsydiaryzmu wywodzi się z filozofii. Można ją znaleźć w pismach myślicieli: Arystotelesa, Tomasza z Akwinu, Althusiusa, Hegla, Tocqueville’a, Proudhona, Kettlera. Była również obecna w doktrynie społecznej Kościoła, w encyklice ''Quadragesimo anno'' papieża Piusa XI zapisano, iż jednostka powinna wykonać samodzielnie to, co może, jeśli natomiast z jakiś względów nie umie sobie poradzić, to musi mieć zagwarantowane wsparcie i pomoc ze strony państwa. W naukach prawnych subsydiaryzm oznacza, że prawa i wolności jednostek są źródłem wszystkich praw i obowiązków społeczności. W naukach politycznych zas.pom. ma zastosowanie w odniesieniu do specyfiki władzy politycznej. Władza subsydiarna powinna pomagać członkom społeczeństwa w realizacji jego celów, unikać stosowania przemocy w zarządzaniu. Zgodnie z zas.pom. decyzje dotyczące jednostki i jej rodziny powinny być podejmowane na możliwie najbliższym obywatelowi poziomie. Jej istotą jest współdziałanie i komplementarność obywateli i instytucji publicznych oraz pełnienie przez władzę (różnych szczebli) funkcji pomocniczych w stosunku do działań jednostek, które ją ustanowiły, i realizowanie jedynie tych zadań, które nie mogą zostać efektywnie wykonane przez niższe struktury organizacyjne (władze lokalne i samorządowe) bądź przez samych obywateli, działających indywidualnie lub za pośrednictwem instytucji społeczeństwa obywatelskiego. Zas.pom. ma na celu usprawnienie i ulepszenie dobra publicznego, poprzez włączenie organizacji obywatelskich w realizację zadań publicznych. Jej realizacja umożliwia partycypację w procesie podejmowania decyzji na poziomie lokalnym, regionalnym i narodowym oraz udział obywateli we współzarządzaniu i współrządzeniu (→ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Partycypacja_społeczna partycypacja społeczna]; 
[http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Współrządzenie_lokalne współrządzenie lokalne]; [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Współrządzenie_partycypacyjne współrządzenie partycypacyjne]). W Unii Europejskiej subsydiaryzm odnosi się do podziału zadań między organami UE i administracjami krajowymi państw członkowskich (także władzami regionalnymi oraz lokalnymi) oraz do prawodawstwa unijnego w aspekcie merytorycznym, jak i formalnym. Odpowiednio do reguły, że każda decyzja powinna być podejmowana na jak najniższym poziomie decyzyjnym (najbliżej obywatela), na poziomie ponadnarodowym należy podejmować tylko te decyzje i działania, które zapewniają większą skuteczność i efektywność wynikającą ze wspólnej realizacji, niż gdyby zostawiono je w wyłącznej kompetencji rządów (regionów, gmin) państw członkowskich. Zgodnie z wymogami subsydiaryzmu Unia podejmuje działania tylko wówczas i tylko w takim zakresie, w jakim cele zamierzonego działania nie mogą zostać osiągnięte w sposób wystarczający przez państwa członkowskie, zarówno na poziomie centralnym, jak i regionalnym oraz lokalnym, i jeśli ze względu na rozmiary lub skutki proponowanego działania możliwe jest lepsze ich osiągnięcie na poziomie Unii [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Agnieszka_Bejma A. Bejma], [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Krzysztof_Tomaszewski K. Tomaszewski] ].
Tłumaczenie"PRINCIPE DE SUBSIDIARITÉ" (Latin subsidiarius, subsidiium - réserve, aide, soutien) - l’une des caractéristiques politiques des États démocratiques modernes, son essence est mieux déterminée par la déclaration suivante: autant de pouvoirs que nécessaire, autant de liberté que possible, autant d’État que nécessaire autant de société que possible. Le principe de subsidiarité est cité dans la préambule de la constitution polonaise. C'est l'un des principes systémiques fondamentaux de l'UE, qui est inscrit dans le Traité sur l'Union européenne et le protocole no. 2 sur l'application des principes de subsidiarité et de proportionnalité (annexe du TUE et du traité sur le fonctionnement de l'UE). Le concept de subsidiarité est dérivé de la philosophie. On le trouve dans les écrits des penseurs comme Aristote, Thomas d'Aquin, Althusius, Hegel, Tocqueville, Proudhon et Kettler. Elle était également présente dans la doctrine sociale de l'église, dans l'encyclique Quadragesimo anno du Pape Pie XI, qui stipulait que l'individu devait faire ce qu'il pouvait, mais que, pour une raison quelconque, il ne pouvait le faire, il devait alors bénéficier du soutien et de l'aide de l'État. En sciences juridiques, la subsidiarité signifie que les droits et libertés des individus sont la source de tous les droits et obligations de la communauté. En science politique, le soutien s'applique à la spécificité du pouvoir politique. Le pouvoir subsidiaire devrait aider les membres de la société à atteindre ses objectifs, en évitant d'utiliser la violence dans la gestion. Selon le support les décisions concernant l'individu et sa famille doivent être prises au niveau le plus proche possible du citoyen. Son essence est la coopération et la complémentarité des citoyens et des institutions publiques, ainsi que des autorités (à différents niveaux), qui exercent des fonctions de soutien en relation avec les activités des entités qui l’ont établie, et qui s’acquittent uniquement des tâches qui ne peuvent être efficacement accomplies par des structures organisationnelles inférieures (gouvernement local) ou par les citoyens eux-mêmes, agissant individuellement ou par l’intermédiaire des institutions de la société civile. Le principe de subsidiarité vise à rationaliser et à améliorer le bien public en impliquant les organisations civiques dans la mise en œuvre des tâches publiques. Sa mise en œuvre permet la participation au processus de décision aux niveaux local, régional et national ainsi que la participation des citoyens à la cogestion et à la cogouvernance (→ participation sociale;
gouvernement local; gouvernance participative). Dans l'Union européenne, la subsidiarité fait référence à la répartition des tâches entre les organes de l'UE et les administrations nationales des États membres (y compris les autorités régionales et locales) et à la législation de l'UE en termes de fond et de forme. Selon la règle selon laquelle chaque décision doit être prise au niveau décisionnel le plus bas (le plus proche du citoyen), seules les décisions et les actions doivent être prises au niveau supranational qui garantissent une efficacité et une efficacité accrues résultant d'une mise en œuvre conjointe plutôt que si elles étaient laissées à la compétence exclusive des gouvernements (régions, municipalités) des États membres. Conformément aux exigences de subsidiarité, l'Union n'agit que si et dans la mesure où les objectifs de l'action envisagée ne peuvent pas être atteints de manière suffisante par les États membres, aux niveaux central, régional et local, et si, en raison de leur taille ou de leur impact l’action proposée, il est possible de mieux les réaliser au niveau de l’Union. [A. Bejma, K. Tomaszewski].

"PRINCIPE DE SUBSIDIARITÉ" (Latin subsidiarius, subsidiium - réserve, aide, soutien) - l’une des caractéristiques politiques des États démocratiques modernes, son essence est mieux déterminée par la déclaration suivante: autant de pouvoirs que nécessaire, autant de liberté que possible, autant d’État que nécessaire autant de société que possible. Le principe de subsidiarité est cité dans la préambule de la constitution polonaise. C'est l'un des principes systémiques fondamentaux de l'UE, qui est inscrit dans le Traité sur l'Union européenne et le protocole no. 2 sur l'application des principes de subsidiarité et de proportionnalité (annexe du TUE et du traité sur le fonctionnement de l'UE). Le concept de subsidiarité est dérivé de la philosophie. On le trouve dans les écrits des penseurs comme Aristote, Thomas d'Aquin, Althusius, Hegel, Tocqueville, Proudhon et Kettler. Elle était également présente dans la doctrine sociale de l'église, dans l'encyclique Quadragesimo anno du Pape Pie XI, qui stipulait que l'individu devait faire ce qu'il pouvait, mais que, pour une raison quelconque, il ne pouvait le faire, il devait alors bénéficier du soutien et de l'aide de l'État. En sciences juridiques, la subsidiarité signifie que les droits et libertés des individus sont la source de tous les droits et obligations de la communauté. En science politique, le soutien s'applique à la spécificité du pouvoir politique. Le pouvoir subsidiaire devrait aider les membres de la société à atteindre ses objectifs, en évitant d'utiliser la violence dans la gestion. Selon le support les décisions concernant l'individu et sa famille doivent être prises au niveau le plus proche possible du citoyen. Son essence est la coopération et la complémentarité des citoyens et des institutions publiques, ainsi que des autorités (à différents niveaux), qui exercent des fonctions de soutien en relation avec les activités des entités qui l’ont établie, et qui s’acquittent uniquement des tâches qui ne peuvent être efficacement accomplies par des structures organisationnelles inférieures (gouvernement local) ou par les citoyens eux-mêmes, agissant individuellement ou par l’intermédiaire des institutions de la société civile. Le principe de subsidiarité vise à rationaliser et à améliorer le bien public en impliquant les organisations civiques dans la mise en œuvre des tâches publiques. Sa mise en œuvre permet la participation au processus de décision aux niveaux local, régional et national ainsi que la participation des citoyens à la cogestion et à la cogouvernance (→ participation sociale; gouvernement local; gouvernance participative). Dans l'Union européenne, la subsidiarité fait référence à la répartition des tâches entre les organes de l'UE et les administrations nationales des États membres (y compris les autorités régionales et locales) et à la législation de l'UE en termes de fond et de forme. Selon la règle selon laquelle chaque décision doit être prise au niveau décisionnel le plus bas (le plus proche du citoyen), seules les décisions et les actions doivent être prises au niveau supranational qui garantissent une efficacité et une efficacité accrues résultant d'une mise en œuvre conjointe plutôt que si elles étaient laissées à la compétence exclusive des gouvernements (régions, municipalités) des États membres. Conformément aux exigences de subsidiarité, l'Union n'agit que si et dans la mesure où les objectifs de l'action envisagée ne peuvent pas être atteints de manière suffisante par les États membres, aux niveaux central, régional et local, et si, en raison de leur taille ou de leur impact l’action proposée, il est possible de mieux les réaliser au niveau de l’Union. [A. Bejma, K. Tomaszewski].

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