Translations

Model pozycyjny służby cywilnej/1/fr: Różnice pomiędzy wersjami

Z Encyklopedia Administracji Publicznej

(Utworzono nową stronę "'''MODÈLE POSITIF DE LA FONCTION PUBLIQUE''' - autrement dit modèle ouvert ou contrat, repose sur le recrutement de candidats pour des postes spécifiques. Les méthod...")
(Brak różnic)

Wersja z 12:17, 28 paź 2019

Objaśnienie komunikatu (prześlij)

Ten komunikat nie posiada dokumentacji. Jeśli wiesz gdzie lub jak ten komunikat jest używany, możesz pomóc innym tłumaczom przez dodanie dokumentacji do tego komunikatu.

Tekst źródłowy komunikatu (Model pozycyjny służby cywilnej)
'''MODEL POZYCYJNY SŁUŻBY CYWILNEJ''' – zwany inaczej otwartym lub modelem kontraktowym, oparty jest na rekrutacji kandydatów na konkretne stanowiska. Metody rekrutacji są wzorowane na zasadach przyjętych w sektorze prywatnym. Ocenie dokonywanej przez wyższego urzędnika podlega sposób wykonywania obowiązków przez pracownika i osiągane przez niego wyniki. Brak jest wyodrębnionych przepisów dotyczących służby cywilnej, a w szczególności odnoszących się do postępowania dyscyplinarnego. Przepisy regulujące kwestie pracownicze (warunki pracy, płace i emerytury) określane są w ramach umowy zbiorowej, będącej rezultatem negocjacji między rządem a związkami zawodowymi. Płace są ustalane na podstawie oceny trudności i odpowiedzialności właściwej dla konkretnego stanowiska, jednocześnie są uzależnione od sytuacji na rynku pracy. Warunki umowy z pracownikami są elastyczne i przystosowane do potrzeb pracodawcy. Warunki zatrudnienia są podobne do występujących w sektorze prywatnym. Staż pracy z sektora prywatnego liczy się tak samo jak z sektora publicznego. Przy awansach na wyższe stanowiska pomocne jest doświadczenie spoza sektora publicznego. Nie jest to model gwarantujący zatrudnienie dożywotnie – pracownicy zatrudniani są na określony czas na podstawie kontraktu i nie otrzymują automatycznej promocji na kolejne szczeble hierarchii służbowej. Zarządzanie wynikami oparte jest na umowach docelowych. W tym modelu stanowiska wyjściowe i średnie są otwarte dla obywateli UE i w związku z tym uznaje się zagraniczne doświadczenie zawodowe pracowników. Szkolenia nie są obowiązkowe. Wadą modelu pozycyjnego jest utrata stabilizacji zawodowej urzędników, która przekłada się na niezbyt silne poczucie → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Misja_służby_publicznej misji służby publicznej]. Z małą stabilnością kadr wiąże się utrata pamięci instytucjonalnej, a jej skutkiem jest powstanie „efektu wyważonych drzwi”, czyli cykliczna nauka procedur i mechanizmów obowiązujących w danej instytucji osób nowo przyjętych do pracy, co ma niekorzystny wpływ na jakość, efektywność i koszty pracy. Zwolennicy tego modelu podkreślają jego elastyczność, motywacyjność, zindywidualizowany system płac, uzależniony od wyników osiąganych przez urzędnika, zdecentralizowany system naboru, łączący się z brakiem preferencji dla byłych urzędników w procesie rekrutacji, nieformalność kontaktów między urzędnikami wyższego i niższego szczebla (są nieprzymuszone, dobrowolne i naturalne), zwiększoną wydajność pracy, otwartość na komunikację ze społeczeństwem, usprawnioną komunikację między poszczególnymi jednostkami a szczeblem politycznym. Państwa, w których występuje model pozycyjny, to: Dania, Holandia, Finlandia, Szwecja, Bułgaria, Wielka Brytania, Estonia, Norwegia (a spoza państw europejskich m.in. USA, Nowa Zelandia) [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Jolanta_Itrich-Drabarek J. Itrich-Drabarek] ].
Tłumaczenie'''MODÈLE POSITIF DE LA FONCTION PUBLIQUE''' - autrement dit modèle ouvert ou contrat, repose sur le recrutement de candidats pour des postes spécifiques. Les méthodes de recrutement sont calquées sur les principes adoptés dans le secteur privé. Les performances et les résultats de l'employé sont évalués par un haut responsable. Il n'y a pas de dispositions distinctes concernant la fonction publique, en particulier celles relatives aux procédures disciplinaires. Les dispositions régissant les questions relatives aux employés (conditions de travail, salaires et pensions) sont définies dans une convention collective issue des négociations entre le gouvernement et les syndicats. Les salaires sont déterminés sur la base d'une évaluation de la difficulté et de la responsabilité propres à un poste particulier, tout en dépendant de la situation du marché du travail. Les termes du contrat avec les employés sont flexibles et adaptés aux besoins de l'employeur. Les conditions d'emploi sont similaires à celles du secteur privé. L’ancienneté dans le secteur privé compte autant que dans le secteur public. Une expérience acquise en dehors du secteur public est utile pour la promotion à des postes de direction. Ce modèle ne garantit pas un emploi à vie - les employés sont employés pour une période déterminée dans le cadre d'un contrat et ne bénéficient pas d'une promotion automatique aux niveaux suivants de la hiérarchie des services. La gestion de la performance est basée sur des contrats cibles. Dans ce modèle, les postes de départ et intermédiaires sont ouverts aux citoyens de l'UE, ce qui permet de reconnaître l'expérience professionnelle acquise par les employés à l'étranger. La formation n'est pas obligatoire. L'inconvénient du modèle de positionnement est la perte de stabilité professionnelle des fonctionnaires, ce qui se traduit par un sentiment → pas très fort de mission de service public. Le manque de stabilité du personnel est associé à la perte de mémoire institutionnelle. Il a pour effet de créer un "effet de porte équilibré", c’est-à-dire un apprentissage cyclique des procédures et mécanismes en vigueur dans une institution donnée de personnes nouvellement recrutées, ce qui a un effet négatif sur la qualité, l’efficacité et le coût de la main-d'œuvre. Les partisans de ce modèle soulignent sa flexibilité, sa motivation, son système de rémunération individualisé, dépendant des résultats obtenus par un fonctionnaire, un système de recrutement décentralisé, combiné à un manque de préférence pour les anciens fonctionnaires dans le processus de recrutement, à l’informalité des contacts entre les hauts fonctionnaires et les fonctionnaires subalternes naturelle, amélioration de l’efficacité du travail, ouverture à la communication avec le public, amélioration de la communication entre les unités et le niveau politique. Les pays dans lesquels le modèle de position est utilisé sont: le Danemark, les Pays-Bas, la Finlande, la Suède, la Bulgarie, la Grande-Bretagne, l'Estonie, la Norvège (et entre autres pays européens, notamment les États-Unis et la Nouvelle-Zélande) [J. Itrich-Drabarek].

MODÈLE POSITIF DE LA FONCTION PUBLIQUE - autrement dit modèle ouvert ou contrat, repose sur le recrutement de candidats pour des postes spécifiques. Les méthodes de recrutement sont calquées sur les principes adoptés dans le secteur privé. Les performances et les résultats de l'employé sont évalués par un haut responsable. Il n'y a pas de dispositions distinctes concernant la fonction publique, en particulier celles relatives aux procédures disciplinaires. Les dispositions régissant les questions relatives aux employés (conditions de travail, salaires et pensions) sont définies dans une convention collective issue des négociations entre le gouvernement et les syndicats. Les salaires sont déterminés sur la base d'une évaluation de la difficulté et de la responsabilité propres à un poste particulier, tout en dépendant de la situation du marché du travail. Les termes du contrat avec les employés sont flexibles et adaptés aux besoins de l'employeur. Les conditions d'emploi sont similaires à celles du secteur privé. L’ancienneté dans le secteur privé compte autant que dans le secteur public. Une expérience acquise en dehors du secteur public est utile pour la promotion à des postes de direction. Ce modèle ne garantit pas un emploi à vie - les employés sont employés pour une période déterminée dans le cadre d'un contrat et ne bénéficient pas d'une promotion automatique aux niveaux suivants de la hiérarchie des services. La gestion de la performance est basée sur des contrats cibles. Dans ce modèle, les postes de départ et intermédiaires sont ouverts aux citoyens de l'UE, ce qui permet de reconnaître l'expérience professionnelle acquise par les employés à l'étranger. La formation n'est pas obligatoire. L'inconvénient du modèle de positionnement est la perte de stabilité professionnelle des fonctionnaires, ce qui se traduit par un sentiment → pas très fort de mission de service public. Le manque de stabilité du personnel est associé à la perte de mémoire institutionnelle. Il a pour effet de créer un "effet de porte équilibré", c’est-à-dire un apprentissage cyclique des procédures et mécanismes en vigueur dans une institution donnée de personnes nouvellement recrutées, ce qui a un effet négatif sur la qualité, l’efficacité et le coût de la main-d'œuvre. Les partisans de ce modèle soulignent sa flexibilité, sa motivation, son système de rémunération individualisé, dépendant des résultats obtenus par un fonctionnaire, un système de recrutement décentralisé, combiné à un manque de préférence pour les anciens fonctionnaires dans le processus de recrutement, à l’informalité des contacts entre les hauts fonctionnaires et les fonctionnaires subalternes naturelle, amélioration de l’efficacité du travail, ouverture à la communication avec le public, amélioration de la communication entre les unités et le niveau politique. Les pays dans lesquels le modèle de position est utilisé sont: le Danemark, les Pays-Bas, la Finlande, la Suède, la Bulgarie, la Grande-Bretagne, l'Estonie, la Norvège (et entre autres pays européens, notamment les États-Unis et la Nouvelle-Zélande) [J. Itrich-Drabarek].

Counterliczniki