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Naturalistyczna teoria samorządu terytorialnego/1/fr: Różnice pomiędzy wersjami

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Tekst źródłowy komunikatu (Naturalistyczna teoria samorządu terytorialnego)
'''NATURALISTYCZNA TEORIA SAMORZĄDU TERYTORIALNEGO''' – koncepcja inspirowana panującą na przełomie XVIII i XIX w. filozofią prawa natury oraz liberalizmu, określająca samorząd terytorialny jako naturalną instytucję polityczną, należącą do kategorii zjawisk publicznych, a nie prawnych. Przedstawiciele tego nurtu, zwalczając panujące wówczas monarchie absolutne, przeciwstawiali państwu samorząd. Nawiązanie do tego można dostrzec w myśli J. Locke’a, który za cel państwa uważał zapewnienie jednostce wolności. Twierdził także, że gmina to forma wcześniejsza niż państwo, co pozwoliło wysnuć wniosek, że nie powstała ona w wyniku prawa państwowego, ale jest osobą prawną tak samo jak człowiek. Rozumowano, że skoro samorząd terytorialny to byt pierwotny w stosunku do państwa (uważano w duchu myśli Arystotelesa, że dzięki gminie zaistnieć mogła instytucja państwa), to powinien mieć szeroką autonomię działania. Wychodzono z założenia, że gmina nie jest tworem prawa pozytywnego (tj. efektem kreacji państwa), lecz konsekwencją naturalnego procesu, a więc kategorią prawa naturalnego. Opierając się na tych założeniach wykształcono podział zadań samorządów na zadania własne oraz zlecone. Uważano, że samorząd nie jest podmiotem zdecentralizowanej administracji publicznej, lecz naturalną instytucją polityczną, która miała być szkołą, w której mieszkańcy nabywają cnót obywatelskich. Przejawy naturalistycznego postrzegania samorządu terytorialnego można odnaleźć w pracach takich polskich myślicieli, jak: Joachim Lelewel, Piotr Górski, Aleksander Kroński, Stanisław Kasznica, Józef Staryszak [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Mateusz_J%C4%99czarek M. Jęczarek] ].
Tłumaczenie'''THÉORIE NATURALISTE DE L'AUTONOMIE GOUVERNEMENTALE TERRITORIALE''' - un concept inspiré de la philosophie du droit de la nature et du libéralisme qui prévalait au tournant des XVIIIe et XIXe siècles, définissant l'autonomie territoriale comme une institution politique naturelle, appartenant à la catégorie des phénomènes publics et non juridiques. Les représentants de cette tendance, combattant les monarchies absolues qui régnaient à l'époque, opposaient l'Etat à l'autonomie gouvernementale. La référence à cela peut être vue dans les pensées de J. Locke, qui considérait que le but de l'État était de donner à l'individu la liberté. Il a également affirmé que la commune était une forme antérieure à l'État, ce qui a permis de conclure qu'elle n'avait pas été créée en vertu du droit de l'État, mais était une personne morale au même titre qu'un être humain. Il a été avancé que, dans la mesure où le gouvernement local était une entité primordiale vis-à-vis de l'État (on croyait dans l'esprit d'Aristote selon lequel une institution de l'État pouvait exister grâce à la commune), il devrait disposer d'une large autonomie d'action. Il a été supposé que la commune n’est pas une création de droit positif (c’est-à-dire l’effet de la création de l’État), mais une conséquence d’un processus naturel, c’est-à-dire une catégorie de loi naturelle. Sur la base de ces hypothèses, la division des tâches de l'autonomie gouvernementale en tâches propres et sur commande a été développée. On pensait que l'autonomie gouvernementale n'était pas un sujet d'administration publique décentralisée, mais une institution politique naturelle qui devait être une école dans laquelle les résidents acquièrent les vertus de la citoyenneté. On peut trouver les manifestations de la perception naturaliste du gouvernement local dans les travaux de penseurs polonais tels que Joachim Lelewel, Piotr Górski, Aleksander Kroński, Stanisław Kasznica et Józef Staryszak [M. Jęczarek].

THÉORIE NATURALISTE DE L'AUTONOMIE GOUVERNEMENTALE TERRITORIALE - un concept inspiré de la philosophie du droit de la nature et du libéralisme qui prévalait au tournant des XVIIIe et XIXe siècles, définissant l'autonomie territoriale comme une institution politique naturelle, appartenant à la catégorie des phénomènes publics et non juridiques. Les représentants de cette tendance, combattant les monarchies absolues qui régnaient à l'époque, opposaient l'Etat à l'autonomie gouvernementale. La référence à cela peut être vue dans les pensées de J. Locke, qui considérait que le but de l'État était de donner à l'individu la liberté. Il a également affirmé que la commune était une forme antérieure à l'État, ce qui a permis de conclure qu'elle n'avait pas été créée en vertu du droit de l'État, mais était une personne morale au même titre qu'un être humain. Il a été avancé que, dans la mesure où le gouvernement local était une entité primordiale vis-à-vis de l'État (on croyait dans l'esprit d'Aristote selon lequel une institution de l'État pouvait exister grâce à la commune), il devrait disposer d'une large autonomie d'action. Il a été supposé que la commune n’est pas une création de droit positif (c’est-à-dire l’effet de la création de l’État), mais une conséquence d’un processus naturel, c’est-à-dire une catégorie de loi naturelle. Sur la base de ces hypothèses, la division des tâches de l'autonomie gouvernementale en tâches propres et sur commande a été développée. On pensait que l'autonomie gouvernementale n'était pas un sujet d'administration publique décentralisée, mais une institution politique naturelle qui devait être une école dans laquelle les résidents acquièrent les vertus de la citoyenneté. On peut trouver les manifestations de la perception naturaliste du gouvernement local dans les travaux de penseurs polonais tels que Joachim Lelewel, Piotr Górski, Aleksander Kroński, Stanisław Kasznica et Józef Staryszak [M. Jęczarek].

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