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'''AUTONOMIE GOUVERNEMENTALE TERRITORIALE''' - Forme de base de la décentralisation de l’autorité publique, consistant à exécuter une partie importante des tâches publiques en leur propre nom et sous leur responsabilité par des organes des collectivités locales, choisis par les collectivités locales et régionales statutaires de la population générale (collectivités locales), en vertu de lois, ainsi que des instruments de démocratie directe (→ notamment un référendum), sous le contrôle d'organes de l'administration de l'État actuellement exercés uniquement du point de vue du respect de la loi (→ contrôle du gouvernement local). S.t. il s'agit donc d'un instrument important pour socialiser l'exercice de l'autorité publique (les États au sens large) et en même temps pour mettre en œuvre le principe de → subsidiarité (anciennement appelé subsidiarité) dans son sens classique. Fonctionnement d'un suffisamment fort est une norme internationale, notamment reconnue dans la → Charte européenne de l'autonomie locale, ratifiée par la République de Pologne en 1994. est l'expression d'une catégorie plus large de séparation verticale des pouvoirs, qui se produit dans les pays démocratiques parallèlement à la division horizontale classique (séparation des pouvoirs). Dans l’État unitaire (uniforme), qui est la République de Pologne, p. est décentralisé territorialement (conformément à la Constitution de la République de Pologne, le système territorial assure la décentralisation du pouvoir public) au pouvoir exécutif, et donc → à l'administration publique. Dans les fédérations et les États basés sur l’autonomie régionale (comme l’Espagne et l’Italie), la décentralisation territoriale inclut également le pouvoir législatif, et dans les fédérations, elle peut également impliquer le pouvoir judiciaire. Dans les grands pays, avec les administrations locales - plus anciennes -, en particulier les administrations municipales, il existe une autonomie régionale. En République de Pologne le depuis la restauration de l'autonomie locale en 1990, → les municipalités en tant qu'unités de base et (depuis 1999) → les poviats, ainsi que les municipalités qui sont des unités d'autonomie locale et (depuis 1999) → les voïvodies en tant qu'unités de l'autonomie régionale. Unités ils ont la personnalité juridique et leur indépendance est soumise à la protection juridictionnelle garantie par la Constitution. Supervision des unités exercées par les voïvodes et le président du conseil des ministres, et en matière financière → chambres régionales de la comptabilité. S.t. est désigné pour effectuer des tâches publiques répondant aux besoins de la communauté des administrations locales - en tant que → tâches propres. En ce qui concerne ces tâches, il existe une double présomption correspondant à l'essence du principe de subsidiarité: s'acquitte de tâches publiques non réservées par la constitution ou la loi à d'autres autorités publiques, et la commune s'acquitte de toutes non réservé à d'autres entités Cela signifie que, même si les tâches du poviat et de la voïvodie doivent être clairement définies par la loi (la loi sur la voïvodie autonome a toutefois conféré à la commune une compétence générale dans le domaine du développement de la voïvodie), elle englobe généralement toutes les questions d'intérêt public de portée locale qui ne sont pas réservées. pour d'autres entités, tout en limitant les tâches liées à la liberté d'entreprise ainsi définies par la jurisprudence des autorités de contrôle et des tribunaux administratifs. Unités ils devraient être dotés de moyens adaptés à leurs tâches (conformément au principe constitutionnel d'adéquation), qui ne s'avèrent pas toujours mis en œuvre dans la pratique. En plus des tâches propres à l'unité ils peuvent être mandatés par la loi pour effectuer des tâches spécifiques dans le domaine de l'administration publique (→ tâches externalisées), ainsi que prendre en charge, par accord, l'exécution d'autres tâches relevant des administrations publiques et d'autres (→ tâches confiées). Selon la tradition propre au continent européen, les corps d’unités sont divisés en constitutif et exécutif. Organes d'État et de contrôle (conseils de communes et de poviat, assemblées de voïvodies) sont élus au scrutin général, égal et direct, au scrutin secret. En ce qui concerne les → organes exécutifs de st, il existe une différence fondamentale entre les municipalités et les autres unités: les organes exécutifs unipersonnels (chef de commune / maire / président de ville) ont été élus au scrutin direct depuis 2002, tandis que dans les offices de poviats et de voïvodies - organismes collectifs exécutif (présidés respectivement par des starosts et des maréchaux) sont traditionnellement élus et révoqués par des organes constitutifs [H. Izdebski].
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'''AUTONOMIE GOUVERNEMENTALE TERRITORIALE''' - forme de base de la décentralisation de l’autorité publique, visant à exécuter une partie importante des tâches publiques en leur propre nom et sous leur responsabilité par des organes des collectivités locales, choisis par les collectivités locales et régionales statutaires de la population générale (collectivités locales), en vertu de lois, ainsi que des instruments de démocratie directe (→ notamment un référendum), sous le contrôle d’organes de l’administration de l’état actuellement exercés uniquement du point de vue du respect de la loi (→ contrôle du gouvernement local). L’autogestion territoriale est donc d’un instrument important pour socialiser l’exercice de l’autorité publique (les états au sens large) et en même temps pour mettre en œuvre le principe de → subsidiarité dans son sens classique. Le fonctionnement d’autogestion suffisamment forte est une norme internationale, notamment reconnue dans la → Charte européenne de l’autonomie locale, ratifiée par la République de Pologne en 1994. C’est l’expression d’une catégorie plus large de séparation verticale des pouvoirs, qui se produit dans les pays démocratiques parallèlement à la division horizontale classique (séparation des pouvoirs). Dans un état unitaire (uniforme) comme la République de Pologne, le pouvoir  est décentralisé territorialement (conformément à la Constitution de la République de Pologne, le système territorial assure la décentralisation du pouvoir public) au pouvoir exécutif, et donc → à l’administration publique. Dans les fédérations et les états basés sur l’autonomie régionale (comme l’ItaliItalie’Italie), la décentralisation territoriale inclut également le pouvoir législatif, et dans les fédérations, elle peut également impliquer le pouvoir judiciaire. Dans les grands pays, avec les administrations locales plus anciennes en particulier les administrations municipales, il existe une autonomie régionale. En République de Pologne, depuis la resta’ration de l'autonomie locale en 1990, → les municipalité’ en tant qu'unités de base et (depuis 1999) → les districts, ainsi que les municipalités qui sont ’es unités d'autonomie locale et (depuis 1999) → les voïvodie’ en tant qu’unités de l'autonomie régionale. Ces unités ont la personnalité juridique et leur indépendance est soumise à la protection juridictionnelle garantie par la Constitution. La supervision des unités exercées par les voïvodes et le président du conseil des ministres, et en matière financière → chambres régionales de la comptabilité. L’autogestion est désignée pour effectuer des tâches publiques répondant aux besoins de la communauté des administrati–ns locales - en tant que → tâches propres. En ce qui concerne ces tâches, il existe une double présomption corre’pondant à l'essence du principe de subsidia’ité: elle s'acquitte de tâches publiques non réservées par la constitution o’ la loi à d'autres autorités publiques, et ’a commune s'acquitte de toutes non’réservé à d'autres entités Cela signifie que, même si les tâches du district et de la voïvodie doivent être clairement définies par la loi (la loi sur la voïvodie autonome a toutefois conféré à la commune une compétence générale dans le domaine du développement de la voïvodie), elle englobe généralement toutes les’questions d'intérêt public de portée locale qui ne sont pas réserv’es. Pour d'autres entités, tout en limitant les tâches liées à ’a liberté d'entreprise ainsi définies par la jurisprudence des autorités de contrôle et des tribunaux administratifs. Unités ils devraient être dotés de moyens adaptés à leurs tâches (conformément au principe const’tutionnel d'adéquatio’), qui ne s'avèrent pas toujours mis en œuvre dans la pratique. En plus des tâches’propres à l'unité ils peuvent être mandatés par la loi pour effectuer des tâches spécifiques dans le ’omaine de l'administration publique (→ tâches externalisées), ainsi que prendre en charge, p’r accord, l’exécution d'autres tâches relevant des administrations pu’liques et d'autres (→ tâches confiées). Selon la tradition propre au continent européen, les corps d’unités sont divisés en constitutif et exécutif.’→ Organes d'État et de contrôle (conseils de communes et du district, assemblées de voïvodies) sont élus au scrutin général, égal et direct, au scrutin secret. En ce qui concerne les → organes exécutifs de st, il existe une différence fondamentale entre les municipalités et les a utres unités: les organes exécutifs unipersonnels (chef de la commune rurale / bourgmestre / maire) ont été élus au scrutin direct depuis 2002, tandis que dans les offices des districts et des voïvodies - organismes collectifs exécutif (présidés respectivement par des starostes et des maréchaux) sont traditionnellement élus et révoqués par des organes constitutifs [H. Izdebski].

Aktualna wersja na dzień 14:27, 30 sty 2020

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Tekst źródłowy komunikatu (Samorząd terytorialny)
'''SAMORZĄD TERYTORIALNY''' – podstawowa forma decentralizacji władzy publicznej, polegająca na wykonywaniu istotnej części zadań publicznych w imieniu własnym i na własną odpowiedzialność przez organy jednostek samorządu terytorialnego, wyłonione przez ustawowo utworzone lokalne i regionalne wspólnoty ogółu mieszkańców (wspólnoty samorządowe), w ramach ustaw, przy wykorzystaniu również instrumentów demokracji bezpośredniej (w szczególności → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Referendum_lokalne referendum]), pod dokonywanym obecnie wyłącznie z punktu widzenia zgodności z prawem, nadzorem organów administracji państwowej (→[http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Nadzór_nad_samorządem_terytorialnym nadzór nad samorządem terytorialnym]). S.t. stanowi tym samym istotny instrument uspołecznienia wykonywania władzy publicznej (państwa w szerszym znaczeniu) i zarazem realizacji → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Zasada_pomocniczości_(subsydiaryzm) zasady pomocniczości] (dawniej nazywanej subsydiarnością) w jej klasycznym rozumieniu. Funkcjonowanie odpowiednio silnego s.t. jest standardem międzynarodowym, w szczególności uznanym w → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Europejska_Karta_Samorządu_Lokalnego  Europejskiej Karcie Samorządu Lokalnego], ratyfikowanej przez RP w 1994 r. S.t. jest wyrazem szerszej kategorii pionowego podziału władz, występującego w państwach demokratycznych obok klasycznego podziału poziomego (trójpodziału władz). W państwie unitarnym (jednolitym), jakim jest RP, s.t. stanowi zdecentralizowaną terytorialnie (zgodnie z Konstytucją RP ustrój terytorialny zapewnia decentralizację władzy publicznej) część władzy wykonawczej, a przez to → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Administracja_publiczna administracji publicznej]. W federacjach i państwach opartych na autonomii regionalnej (jak Hiszpania i Włochy) decentralizacja terytorialna obejmuje również władzę ustawodawczą, a w federacjach może dotyczyć także władzy sądowniczej. W większych państwach, obok – starszego – samorządu lokalnego, w szczególności samorządu gminnego, występuje samorząd regionalny. W RP na s.t. składają się, od przywrócenia samorządu w 1990 r., → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Gmina gminy] jako jednostki podstawowe i (od 1999) → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Powiat powiaty], wraz z gminami będące jednostkami samorządu lokalnego, oraz (także od 1999) → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Województwo województwa] jako jednostki samorządu regionalnego. Jednostki s.t. mają osobowość prawną, a ich samodzielność podlega konstytucyjnie zagwarantowanej ochronie sądowej. Nadzór nad jednostkami s.t. sprawują wojewodowie i prezes rady ministrów, a w zakresie spraw finansowych → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Regionalne_izby_obrachunkowe regionalne izby obrachunkowe]. S.t. jest powołany do wykonywania zadań publicznych służących zaspokajaniu potrzeb wspólnoty samorządowej – jako → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Zadania_własne zadań własnych]. W odniesieniu do tych zadań przyjęte jest podwójne domniemanie odpowiadające istocie zasady pomocniczości: s.t. wykonuje zadania publiczne niezastrzeżone przez konstytucję lub ustawy dla innych organów władz publicznych, a gmina wykonuje wszystkie zadania s.t. niezastrzeżone dla innych jednostek s.t. Oznacza to, że o ile zadania powiatu i województwa muszą być wyraźnie określone ustawowo (ustawa o samorządzie województwa przyznała mu jednak ogólną kompetencję w zakresie rozwoju województwa), o tyle zakres zadań gminy jest określony ogólnie jako wszystkie sprawy publiczne o znaczeniu lokalnym, niezastrzeżone ustawami na rzecz innych podmiotów, przy zawężaniu tak określanej swobody podejmowania zadań przez orzecznictwo organów nadzoru i sądów administracyjnych. Jednostki s.t. powinny być wyposażone w środki odpowiednie do przypadających im zadań (zgodnie z konstytucyjną zasadą adekwatności), co nie zawsze okazuje się realizowane w praktyce. Obok zadań własnych jednostki s.t. mogą mieć ustawowo zlecone wykonywanie określonych zadań z zakresu administracji rządowej (→[http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Zadania_zlecone zadania zlecone]), jak również mogą przejmować w drodze porozumień wykonywanie innych zadań z zakresu zarówno administracji rządowej, jak i innych jednostek s.t. (→[http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Zadania_powierzone zadania powierzone]). Zgodnie z tradycją właściwą kontynentowi europejskiemu, organy jednostek s.t. dzielą się na stanowiące i wykonawcze. → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Organ_stanowiący_i_kontrolny_samorządu_terytorialnego Organy stanowiące i kontrolne s.t. ] (rady gmin i powiatów, sejmiki województw) są wybierane w wyborach powszechnych, równych i bezpośrednich w głosowaniu tajnym. Jeśli chodzi o → [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Organ_wykonawczy_samorządu_terytorialnego organy wykonawcze s.t.], występuje zasadnicza różnica pomiędzy gminami i pozostałymi jednostkami s.t.: w gminach jednoosobowe organy wykonawcze (wójt/burmistrz/prezydent miasta) są od 2002 r. wybierane w wyborach bezpośrednich, natomiast w powiatach i województwach zarządy – kolegialne organy wykonawcze (z przewodniczącymi im, odpowiednio, starostami i marszałkami) są tradycyjnie wybierane i odwoływane przez organy stanowiące [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Hubert_Izdebski H. Izdebski] ].
Tłumaczenie'''AUTONOMIE GOUVERNEMENTALE TERRITORIALE''' - forme de base de la décentralisation de l’autorité publique, visant à exécuter une partie importante des tâches publiques en leur propre nom et sous leur responsabilité par des organes des collectivités locales, choisis par les collectivités locales et régionales statutaires de la population générale (collectivités locales), en vertu de lois, ainsi que des instruments de démocratie directe (→ notamment un référendum), sous le contrôle d’organes de l’administration de l’état actuellement exercés uniquement du point de vue du respect de la loi (→ contrôle du gouvernement local). L’autogestion territoriale est donc d’un instrument important pour socialiser l’exercice de l’autorité publique (les états au sens large) et en même temps pour mettre en œuvre le principe de → subsidiarité dans son sens classique. Le fonctionnement d’autogestion suffisamment forte est une norme internationale, notamment reconnue dans la → Charte européenne de l’autonomie locale, ratifiée par la République de Pologne en 1994. C’est l’expression d’une catégorie plus large de séparation verticale des pouvoirs, qui se produit dans les pays démocratiques parallèlement à la division horizontale classique (séparation des pouvoirs). Dans un état unitaire (uniforme) comme la République de Pologne, le pouvoir  est décentralisé territorialement (conformément à la Constitution de la République de Pologne, le système territorial assure la décentralisation du pouvoir public) au pouvoir exécutif, et donc → à l’administration publique. Dans les fédérations et les états basés sur l’autonomie régionale (comme l’ItaliItalie’Italie), la décentralisation territoriale inclut également le pouvoir législatif, et dans les fédérations, elle peut également impliquer le pouvoir judiciaire. Dans les grands pays, avec les administrations locales plus anciennes en particulier les administrations municipales, il existe une autonomie régionale. En République de Pologne, depuis la resta’ration de l'autonomie locale en 1990, → les municipalité’ en tant qu'unités de base et (depuis 1999) → les districts, ainsi que les municipalités qui sont ’es unités d'autonomie locale et (depuis 1999) → les voïvodie’ en tant qu’unités de l'autonomie régionale. Ces unités ont la personnalité juridique et leur indépendance est soumise à la protection juridictionnelle garantie par la Constitution. La supervision des unités exercées par les voïvodes et le président du conseil des ministres, et en matière financière → chambres régionales de la comptabilité. L’autogestion est désignée pour effectuer des tâches publiques répondant aux besoins de la communauté des administrati–ns locales - en tant que → tâches propres. En ce qui concerne ces tâches, il existe une double présomption corre’pondant à l'essence du principe de  subsidia’ité: elle s'acquitte de tâches publiques non réservées par la constitution o’ la loi à d'autres autorités publiques, et ’a commune s'acquitte de toutes non’réservé à d'autres entités Cela signifie que, même si les tâches du district et de la voïvodie doivent être clairement définies par la loi (la loi sur la voïvodie autonome a toutefois conféré à la commune une compétence générale dans le domaine du développement de la voïvodie), elle englobe généralement toutes les’questions d'intérêt public de portée locale qui ne sont pas réserv’es. Pour d'autres entités, tout en limitant les tâches liées à ’a liberté d'entreprise ainsi définies par la jurisprudence des autorités de contrôle et des tribunaux administratifs. Unités ils devraient être dotés de moyens adaptés à leurs tâches (conformément au principe const’tutionnel d'adéquatio’), qui ne s'avèrent pas toujours mis en œuvre dans la pratique. En plus des tâches’propres à l'unité ils peuvent être mandatés par la loi pour effectuer des tâches spécifiques dans le ’omaine de l'administration publique (→ tâches externalisées), ainsi que prendre en charge, p’r accord, l’exécution d'autres tâches relevant des administrations pu’liques et d'autres (→ tâches confiées). Selon la tradition propre au continent européen, les corps d’unités sont divisés en constitutif et exécutif.’→ Organes d'État et de contrôle (conseils de communes et du district, assemblées de voïvodies) sont élus au scrutin général, égal et direct, au scrutin secret. En ce qui concerne les → organes exécutifs de st, il existe une différence fondamentale entre les municipalités et les a utres unités: les organes exécutifs unipersonnels (chef de la commune rurale / bourgmestre / maire) ont été élus au scrutin direct depuis 2002, tandis que dans les offices des districts et des voïvodies - organismes collectifs exécutif (présidés respectivement par des starostes et des maréchaux) sont traditionnellement élus et révoqués par des organes constitutifs [H. Izdebski].

AUTONOMIE GOUVERNEMENTALE TERRITORIALE - forme de base de la décentralisation de l’autorité publique, visant à exécuter une partie importante des tâches publiques en leur propre nom et sous leur responsabilité par des organes des collectivités locales, choisis par les collectivités locales et régionales statutaires de la population générale (collectivités locales), en vertu de lois, ainsi que des instruments de démocratie directe (→ notamment un référendum), sous le contrôle d’organes de l’administration de l’état actuellement exercés uniquement du point de vue du respect de la loi (→ contrôle du gouvernement local). L’autogestion territoriale est donc d’un instrument important pour socialiser l’exercice de l’autorité publique (les états au sens large) et en même temps pour mettre en œuvre le principe de → subsidiarité dans son sens classique. Le fonctionnement d’autogestion suffisamment forte est une norme internationale, notamment reconnue dans la → Charte européenne de l’autonomie locale, ratifiée par la République de Pologne en 1994. C’est l’expression d’une catégorie plus large de séparation verticale des pouvoirs, qui se produit dans les pays démocratiques parallèlement à la division horizontale classique (séparation des pouvoirs). Dans un état unitaire (uniforme) comme la République de Pologne, le pouvoir est décentralisé territorialement (conformément à la Constitution de la République de Pologne, le système territorial assure la décentralisation du pouvoir public) au pouvoir exécutif, et donc → à l’administration publique. Dans les fédérations et les états basés sur l’autonomie régionale (comme l’ItaliItalie’Italie), la décentralisation territoriale inclut également le pouvoir législatif, et dans les fédérations, elle peut également impliquer le pouvoir judiciaire. Dans les grands pays, avec les administrations locales plus anciennes en particulier les administrations municipales, il existe une autonomie régionale. En République de Pologne, depuis la resta’ration de l'autonomie locale en 1990, → les municipalité’ en tant qu'unités de base et (depuis 1999) → les districts, ainsi que les municipalités qui sont ’es unités d'autonomie locale et (depuis 1999) → les voïvodie’ en tant qu’unités de l'autonomie régionale. Ces unités ont la personnalité juridique et leur indépendance est soumise à la protection juridictionnelle garantie par la Constitution. La supervision des unités exercées par les voïvodes et le président du conseil des ministres, et en matière financière → chambres régionales de la comptabilité. L’autogestion est désignée pour effectuer des tâches publiques répondant aux besoins de la communauté des administrati–ns locales - en tant que → tâches propres. En ce qui concerne ces tâches, il existe une double présomption corre’pondant à l'essence du principe de subsidia’ité: elle s'acquitte de tâches publiques non réservées par la constitution o’ la loi à d'autres autorités publiques, et ’a commune s'acquitte de toutes non’réservé à d'autres entités Cela signifie que, même si les tâches du district et de la voïvodie doivent être clairement définies par la loi (la loi sur la voïvodie autonome a toutefois conféré à la commune une compétence générale dans le domaine du développement de la voïvodie), elle englobe généralement toutes les’questions d'intérêt public de portée locale qui ne sont pas réserv’es. Pour d'autres entités, tout en limitant les tâches liées à ’a liberté d'entreprise ainsi définies par la jurisprudence des autorités de contrôle et des tribunaux administratifs. Unités ils devraient être dotés de moyens adaptés à leurs tâches (conformément au principe const’tutionnel d'adéquatio’), qui ne s'avèrent pas toujours mis en œuvre dans la pratique. En plus des tâches’propres à l'unité ils peuvent être mandatés par la loi pour effectuer des tâches spécifiques dans le ’omaine de l'administration publique (→ tâches externalisées), ainsi que prendre en charge, p’r accord, l’exécution d'autres tâches relevant des administrations pu’liques et d'autres (→ tâches confiées). Selon la tradition propre au continent européen, les corps d’unités sont divisés en constitutif et exécutif.’→ Organes d'État et de contrôle (conseils de communes et du district, assemblées de voïvodies) sont élus au scrutin général, égal et direct, au scrutin secret. En ce qui concerne les → organes exécutifs de st, il existe une différence fondamentale entre les municipalités et les a utres unités: les organes exécutifs unipersonnels (chef de la commune rurale / bourgmestre / maire) ont été élus au scrutin direct depuis 2002, tandis que dans les offices des districts et des voïvodies - organismes collectifs exécutif (présidés respectivement par des starostes et des maréchaux) sont traditionnellement élus et révoqués par des organes constitutifs [H. Izdebski].

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