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'''FIDÉLITÉ''' - signifie le respect de l'ordre juridique et le respect des organes constitutionnels de l'État par un responsable de l'administration publique. Il y a plusieurs niveaux: vers le gouvernement, les institutions et les supérieurs. L. signifie au gouvernement qu'un fonctionnaire de l'administration publique met en œuvre son programme de manière loyale et fiable, quelles que soient ses convictions et ses opinions politiques, à sa connaissance et à sa volonté, sans comportement obstructif (→ neutralité politique). L. envers l’institution d’origine interdit de parler de manière critique à l’institution dans les médias publics. L. vis-à-vis de ses supérieurs signifie être prêt à exécuter des ordres officiels tout en veillant au respect de la loi et en évitant de commettre des erreurs. L'interprétation de la règle du fonctionnaire à l'égard d'un supérieur est particulièrement importante, ce qui signifie que si une autorité supérieure, malgré ses protestations, prend une décision qu'elle considère erronée, elle l'exécute sous la responsabilité de son supérieur avec diligence et précision, comme si c'était complètement décision convaincue. Selon Max Weber, "sans ce mot le plus strict, la discipline morale et l'abnégation de soi, tout cet appareil s'effondrerait". Un responsable de l'administration publique ne devrait pas regarder passivement les erreurs de son supérieur hiérarchique, mais devrait les corriger en fonction de son expérience et de sa compréhension de la situation. La conduite légale est la limite pour s'acquitter de son devoir au service de l'État. Si l'ordre du supérieur hiérarchique présente les caractéristiques d'un crime et que cela aurait pour effet d'enfreindre la loi, il est obligé de le signaler, en contournant le processus officiel. Toutefois, si le commandement du supérieur soulève des préoccupations morales ou un soupçon de partialité ou d'effets sociaux négatifs, un agent de l'administration publique peut tenter de refuser de se conformer à l'ordre du supérieur. Toutefois, si le superviseur maintient son ordre et demande qu'il soit exécuté par écrit, le fonctionnaire doit s'y conformer. Il existe une discussion dans la littérature sur la question de savoir si ce comportement est correct. L. pour le supérieur signifie ne pas cacher au supérieur aucune information pertinente en la matière et l'interdiction de prendre des mesures qui pourraient résulter du désir d'empêcher la prise de décisions rationnelles par ses supérieurs. Cette règle nécessite de fournir au superviseur un objectif objectif, selon les meilleures volontés et les meilleures connaissances, des conseils et des opinions lors de la préparation de propositions d'activités de l'institution / du bureau de l'administration [J. Itrich-Drabarek].
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"FIDÉLITÉ" - signifie le respect de l'ordre juridique et le respect des organes constitutionnels de l'État par un responsable de l'administration publique. Il y a plusieurs niveaux: vers le gouvernement, les institutions et les supérieurs. La fidélité signifie au gouvernement qu'un fonctionnaire de l'administration publique met en œuvre son programme de manière loyale et fiable, quelles que soient ses convictions et ses opinions politiques, à sa connaissance et à sa volonté, sans comportement obstructif (→ neutralité politique). La fidélité envers l’institution d’origine interdit de parler de manière critique à l’institution dans les médias publics. La fidélité vis-à-vis de ses supérieurs signifie être prêt à exécuter des ordres officiels tout en veillant au respect de la loi et en évitant de commettre des erreurs. L'interprétation de la règle du fonctionnaire à l'égard d'un supérieur est particulièrement importante, ce qui signifie que si une autorité supérieure, malgré ses protestations, prend une décision qu'elle considère erronée, elle l'exécute sous la responsabilité de son supérieur avec diligence et précision, comme si c'était complètement décision convaincue. Selon Max Weber, « sans ce mot le plus strict, la discipline morale et l'abnégation de soi, tout cet appareil s'effondrerait ». Un responsable de l'administration publique ne devrait pas regarder passivement les erreurs de son supérieur hiérarchique, mais devrait les corriger en fonction de son expérience et de sa compréhension de la situation. La conduite légale est la limite pour s'acquitter de son devoir au service de l'État. Si l'ordre du supérieur hiérarchique présente les caractéristiques d'un crime et que cela aurait pour effet d'enfreindre la loi, il est obligé de le signaler, en contournant le processus officiel. Toutefois, si le commandement du supérieur soulève des préoccupations morales ou un soupçon de partialité ou d'effets sociaux négatifs, un agent de l'administration publique peut tenter de refuser de se conformer à l'ordre du supérieur. Toutefois, si le superviseur maintient son ordre et demande qu'il soit exécuté par écrit, le fonctionnaire doit s'y conformer. Il existe une discussion dans la littérature sur la question de savoir si ce comportement est correct. La fidélité au supérieur signifie ne pas cacher devant lui aucune information pertinente en la matière et l'interdiction de prendre des mesures qui pourraient résulter du désir d'empêcher la prise de décisions rationnelles par ses supérieurs. Cette règle nécessite de fournir au superviseur un objectif, selon les meilleures volontés et les meilleures connaissances, des conseils et des opinions lors de la préparation de propositions d'activités de l'institution / du bureau de l'administration. [J. Itrich-Drabarek].
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Source: J. Itrich-Drabarek, Uwarunkowania, standardy i kierunki zmian służby cywilnej w Polsce na tle europejskim, Varsovie 2010.

Aktualna wersja na dzień 22:24, 9 lut 2020

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Tekst źródłowy komunikatu (Lojalność)
'''LOJALNOŚĆ''' – oznacza przestrzeganie porządku prawnego i poszanowanie konstytucyjnych organów państwa przez urzędnika administracji publicznej. Istnieje kilka poziomów l.: wobec rządu, wobec instytucji oraz wobec przełożonych. L. wobec rządu oznacza, że urzędnik administracji publicznej lojalnie i rzetelnie realizuje jego program, bez względu na własne przekonania i poglądy polityczne, zgodnie ze swoją najlepszą wiedzą i wolą, bez zachowań obstrukcyjnych (→ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Neutralno%C5%9B%C4%87_polityczna neutralność polityczna]). L. wobec macierzystej instytucji oznacza zakaz wypowiadania się krytycznie wobec instytucji w mediach publicznych. L. wobec przełożonych oznacza gotowość do wykonywania poleceń służbowych, przy jednoczesnej dbałości o przestrzeganie prawa i niepopełnianie pomyłek. Szczególnie istotna jest interpretacja zasady l. urzędnika wobec przełożonego, która oznacza, że w przypadku, gdy nadrzędny organ, mimo jego protestów, podejmuje decyzję uważaną przez niego za błędną, to wykonuje on ją na odpowiedzialność przełożonego sumiennie i dokładnie, tak jakby był całkowicie do decyzji przekonany. Według Maxa Webera „bez tej w najściślejszym tego słowa, moralnej dyscypliny i samozaparcia rozpadłby się ten cały aparat”. Urzędnik administracji publicznej nie powinien biernie przyglądać się pomyłkom lub błędom przełożonego i powinien je korygować, opierając się na doświadczeniu i zrozumieniu sytuacji. Granicą wywiązywania się z obowiązku l. w służbie państwu jest zachowanie zgodne z prawem. W przypadku, gdy polecenie lub rozkaz przełożonego nosi znamiona przestępstwa, a jego skutkiem byłoby złamanie prawa – zobowiązany jest to zgłosić, z pominięciem drogi służbowej. Jeżeli jednak polecenie przełożonego budzi wątpliwości natury moralnej albo rodzi podejrzenie o stronniczość lub negatywne skutki społeczne, urzędnik administracji publicznej może próbować odmówić wykonania polecenia przełożonego. Jeśli jednak przełożony podtrzyma swoje polecenie i zażąda wykonania go na piśmie, urzędnik ma obowiązek je wykonać. W literaturze przedmiotu trwa dyskusja nad tym, czy takie zachowanie jest prawidłowe. L. wobec przełożonego oznacza nieukrywanie przed przełożonym żadnych istotnych w sprawie informacji oraz zakaz podejmowania działań, które mogą wynikać z chęci utrudnienia swoim przełożonym racjonalnego podejmowania decyzji. Zasada ta wymaga udzielania przełożonemu obiektywnych, zgodnie z najlepszą wolą i wiedzą porad i opinii podczas przygotowywania propozycji działań instytucji/urzędu administracji [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Jolanta_Itrich-Drabarek J. Itrich-Drabarek] ].
Tłumaczenie"FIDÉLITÉ" - signifie le respect de l'ordre juridique et le respect des organes constitutionnels de l'État par un responsable de l'administration publique. Il y a plusieurs niveaux: vers le gouvernement, les institutions et les supérieurs. La fidélité signifie au gouvernement qu'un fonctionnaire de l'administration publique met en œuvre son programme de manière loyale et fiable, quelles que soient ses convictions et ses opinions politiques, à sa connaissance et à sa volonté, sans comportement obstructif (→ neutralité politique). La fidélité envers l’institution d’origine interdit de parler de manière critique à l’institution dans les médias publics. La fidélité vis-à-vis de ses supérieurs signifie être prêt à exécuter des ordres officiels tout en veillant au respect de la loi et en évitant de commettre des erreurs. L'interprétation de la règle du fonctionnaire à l'égard d'un supérieur est particulièrement importante, ce qui signifie que si une autorité supérieure, malgré ses protestations, prend une décision qu'elle considère erronée, elle l'exécute sous la responsabilité de son supérieur avec diligence et précision, comme si c'était complètement décision convaincue. Selon Max Weber, « sans ce mot le plus strict, la discipline morale et l'abnégation de soi, tout cet appareil s'effondrerait ». Un responsable de l'administration publique ne devrait pas regarder passivement les erreurs de son supérieur hiérarchique, mais devrait les corriger en fonction de son expérience et de sa compréhension de la situation. La conduite légale est la limite pour s'acquitter de son devoir au service de l'État. Si l'ordre du supérieur hiérarchique présente les caractéristiques d'un crime et que cela aurait pour effet d'enfreindre la loi, il est obligé de le signaler, en contournant le processus officiel. Toutefois, si le commandement du supérieur soulève des préoccupations morales ou un soupçon de partialité ou d'effets sociaux négatifs, un agent de l'administration publique peut tenter de refuser de se conformer à l'ordre du supérieur. Toutefois, si le superviseur maintient son ordre et demande qu'il soit exécuté par écrit, le fonctionnaire doit s'y conformer. Il existe une discussion dans la littérature sur la question de savoir si ce comportement est correct. La fidélité au supérieur signifie ne pas cacher devant lui aucune information pertinente en la matière et l'interdiction de prendre des mesures qui pourraient résulter du désir d'empêcher la prise de décisions rationnelles par ses supérieurs. Cette règle nécessite de fournir au superviseur un objectif, selon les meilleures volontés et les meilleures connaissances, des conseils et des opinions lors de la préparation de propositions d'activités de l'institution / du bureau de l'administration. [J. Itrich-Drabarek]. 
Source: J. Itrich-Drabarek, Uwarunkowania, standardy i kierunki zmian służby cywilnej w Polsce na tle europejskim, Varsovie 2010.

"FIDÉLITÉ" - signifie le respect de l'ordre juridique et le respect des organes constitutionnels de l'État par un responsable de l'administration publique. Il y a plusieurs niveaux: vers le gouvernement, les institutions et les supérieurs. La fidélité signifie au gouvernement qu'un fonctionnaire de l'administration publique met en œuvre son programme de manière loyale et fiable, quelles que soient ses convictions et ses opinions politiques, à sa connaissance et à sa volonté, sans comportement obstructif (→ neutralité politique). La fidélité envers l’institution d’origine interdit de parler de manière critique à l’institution dans les médias publics. La fidélité vis-à-vis de ses supérieurs signifie être prêt à exécuter des ordres officiels tout en veillant au respect de la loi et en évitant de commettre des erreurs. L'interprétation de la règle du fonctionnaire à l'égard d'un supérieur est particulièrement importante, ce qui signifie que si une autorité supérieure, malgré ses protestations, prend une décision qu'elle considère erronée, elle l'exécute sous la responsabilité de son supérieur avec diligence et précision, comme si c'était complètement décision convaincue. Selon Max Weber, « sans ce mot le plus strict, la discipline morale et l'abnégation de soi, tout cet appareil s'effondrerait ». Un responsable de l'administration publique ne devrait pas regarder passivement les erreurs de son supérieur hiérarchique, mais devrait les corriger en fonction de son expérience et de sa compréhension de la situation. La conduite légale est la limite pour s'acquitter de son devoir au service de l'État. Si l'ordre du supérieur hiérarchique présente les caractéristiques d'un crime et que cela aurait pour effet d'enfreindre la loi, il est obligé de le signaler, en contournant le processus officiel. Toutefois, si le commandement du supérieur soulève des préoccupations morales ou un soupçon de partialité ou d'effets sociaux négatifs, un agent de l'administration publique peut tenter de refuser de se conformer à l'ordre du supérieur. Toutefois, si le superviseur maintient son ordre et demande qu'il soit exécuté par écrit, le fonctionnaire doit s'y conformer. Il existe une discussion dans la littérature sur la question de savoir si ce comportement est correct. La fidélité au supérieur signifie ne pas cacher devant lui aucune information pertinente en la matière et l'interdiction de prendre des mesures qui pourraient résulter du désir d'empêcher la prise de décisions rationnelles par ses supérieurs. Cette règle nécessite de fournir au superviseur un objectif, selon les meilleures volontés et les meilleures connaissances, des conseils et des opinions lors de la préparation de propositions d'activités de l'institution / du bureau de l'administration. [J. Itrich-Drabarek]. Source: J. Itrich-Drabarek, Uwarunkowania, standardy i kierunki zmian służby cywilnej w Polsce na tle europejskim, Varsovie 2010.

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