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"SÉCURITÉ INTÉRIEURE" - le processus visant à satisfaire les besoins et les intérêts de la société d'un pays donné. Ce processus s’effectue dans un environnement complexe et ses conséquences s’appliquent non seulement aux individus et aux groupes sociaux intéressés, aux environnements, aux régions et à des pays entiers, mais également à d’autres communautés, en raison, au moins, de la dispersion spatiale des menaces qui ignorent le concept de « frontière d’un État » (par exemple, le terrorisme). En effet, le concept de la sécurité intérieure résulte de la théorie de l’État, qui distingue ses deux fonctions: externe et interne. Elle est donc étroitement liée à l’institution de l'État. C'est pourquoi la doctrine du droit utilise assez souvent le terme: sécurité intérieure de l'État. À son tour, dans le cadre de la science de la sécurité, elle est considérée en tant qu’une composante de la sécurité nationale. Ce type de sécurité est souvent compris de deux manières. Au sens plus étroite, la sécurité intérieure fait référence aux fonctions fondamentales (traditionnelles) de l’État moderne: la protection du territoire, l’ordre statutaire et politique, la stabilité sociale et l’assurance du sentiment de la sécurité des citoyens (la protection de la vie et de la santé). Cependant, au sens large, la sécurité intérieure dépasse les institutions de l'État, car elle découle de l'esprit du libéralisme et revêt également un caractère mondial (transnational) résultant de diverses formes transnationales de coopération internationale. Ainsi, la sécurité intérieure inclut toutes les activités sociales et culturelles des citoyens (par exemple, l'activité des organisations non gouvernementales). Dans une telle situation, la question se pose sur la privatisation de la sécurité et sur la sécurité sociale. La problématique portant sur la sécurité intérieure n’a pas encore été étudié à fond. Interprété différemment selon les pays et selon les régions du monde, le concept n’est donc pas universel. La nature, les types et la spécificité des menaces influent sur sa portée. Aux États-Unis (le terme home security), il couvre les questions de terrorisme, de criminalité organisée (y compris celle liée à la drogue), de lamigration illégale et d'espionnage, qui fait l'objet de l'activité des institutions fédérales. À son tour, la « Stratégie de sécurité intérieure » adoptée par l'UE mentionne les menaces suivantes : le terrorisme sous toutes ses formes, caractérisé par un mépris absolu de la vie humaine et des valeurs démocratiques; criminalité organisée sous différentes formes, indépendamment des frontières nationales; la cybercriminalité, la menace mondiale, technique, transfrontalière et anonyme pour  les systèmes d’information; la criminalité transfrontalière, l’impact majeur sur la vie quotidienne des Européens; la violence (en soi), l’accroît les dommages déjà causés par le  crime et nuit à la société; le catastrophes naturelles et facteurs anthropiques tels que : les incendies de forêts, les tremblements de terre, les inondations, les tempêtes, le sécheresses, les pannes d'énergie et les défaillances de systèmes d'information et de communication à grande échelle. [A. Misiuk].
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"SÉCURITÉ INTÉRIEURE" - le processus visant à satisfaire les besoins et les intérêts de la société d'un pays donné. Ce processus s’effectue dans un environnement complexe et ses conséquences s’appliquent non seulement aux individus et aux groupes sociaux intéressés, aux environnements, aux régions et à des pays entiers, mais également à d’autres communautés, en raison, au moins, de la dispersion spatiale des menaces qui ignorent le concept de « frontière d’un État » (par exemple, le terrorisme). En effet, le concept de la sécurité intérieure résulte de la théorie de l’État, qui distingue ses deux fonctions: externe et interne. Elle est donc étroitement liée à l’institution de l'État. C'est pourquoi la doctrine du droit utilise assez souvent le terme: sécurité intérieure de l'État. À son tour, dans le cadre de la science de la sécurité, elle est considérée en tant qu’une composante de la sécurité nationale. Ce type de sécurité est souvent compris de deux manières. Au sens plus étroite, la sécurité intérieure fait référence aux fonctions fondamentales (traditionnelles) de l’État moderne: la protection du territoire, l’ordre statutaire et politique, la stabilité sociale et l’assurance du sentiment de la sécurité des citoyens (la protection de la vie et de la santé). Cependant, au sens large, la sécurité intérieure dépasse les institutions de l'État, car elle découle de l'esprit du libéralisme et revêt également un caractère mondial (transnational) résultant de diverses formes transnationales de coopération internationale. Ainsi, la sécurité intérieure inclut toutes les activités sociales et culturelles des citoyens (par exemple, l'activité des organisations non gouvernementales). Dans une telle situation, la question se pose sur la privatisation de la sécurité et sur la sécurité sociale. La problématique portant sur la sécurité intérieure n’a pas encore été étudié à fond. Interprété différemment selon les pays et selon les régions du monde, le concept n’est donc pas universel. La nature, les types et la spécificité des menaces influent sur sa portée. Aux États-Unis (le terme home security), il couvre les questions de terrorisme, de criminalité organisée (y compris celle liée à la drogue), de lamigration illégale et d'espionnage, qui fait l'objet de l'activité des institutions fédérales. À son tour, la « Stratégie de sécurité intérieure » adoptée par l'UE mentionne les menaces suivantes : le terrorisme sous toutes ses formes, caractérisé par un mépris absolu de la vie humaine et des valeurs démocratiques; criminalité organisée sous différentes formes, indépendamment des frontières nationales; la cybercriminalité, la menace mondiale, technique, transfrontalière et anonyme pour  les systèmes d’information; la criminalité transfrontalière, l’impact majeur sur la vie quotidienne des Européens; la violence (en soi), l’accroît les dommages déjà causés par le  crime et nuit à la société; le catastrophes naturelles et facteurs anthropiques tels que : les incendies de forêts, les tremblements de terre, les inondations, les tempêtes, le sécheresses, les pannes d'énergie et les défaillances de systèmes d'information et de communication à grande échelle. [A. Misiuk].
 
 
Sources: A. Misiuk, Instytucjonalny system bezpieczeństwa wewnętrznego, Varsovie 2013 ■ C. Rutkowski, Bezpieczeństwo wewnętrzne. Tożsamość – kierowanie – zarządzanie, Varsovie 2010 ■ B. Wiśniewski, Z. Ścibiorek, A. Dawidczyk, B.R. Kuc, Bezpieczeństwo wewnętrzne. Podręcznik akademicki, Tor–ń 2015.
 

Aktualna wersja na dzień 10:53, 12 lut 2020

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Tekst źródłowy komunikatu (Bezpieczeństwo wewnętrzne)
'''BEZPIECZEŃSTWO WEWNĘTRZNE''' – odnosi się do procesu zaspokajania potrzeb i interesów społeczeństwa danego kraju. Proces ten realizuje się w złożonym środowisku, a jego konsekwencje dotyczą nie tylko zainteresowanych osób i grup społecznych, środowisk, regionów i całych państw, ale odnoszą się także do innych społeczności, chociażby z uwagi na fakt przestrzennego rozprzestrzeniania się zagrożeń, które nie znają pojęcia „granica państwa” (np. terroryzm). Pojęcie b.w. wynika z teorii państwa, która rozróżnia dwie jego funkcje: zewnętrzną i wewnętrzną. Tak więc jest ściśle związane z instytucją państwa, dlatego też dość często w doktrynie prawa używa się dookreślenia: bezpieczeństwo wewnętrzne państwa. Z kolei w ramach nauki o bezpieczeństwie umieszcza się b.w. jako część składową bezpieczeństwa narodowego. Tego rodzaju bezpieczeństwo jest często dwojako pojmowane. W węższym ujęciu b.w. odnosi się do podstawowych (tradycyjnych) funkcji współczesnego państwa: ochrony terytorium, porządku polityczno-ustrojowego, stabilności społecznej oraz zapewnienie poczucia bezpieczeństwa obywateli (ochrona życia i zdrowia). Natomiast szeroki zakres b.w. wykracza poza instytucje państwowe, gdyż wywodzi się z ducha liberalizmu, a także przyjmuje globalny (ponadpaństwowy) charakter wynikający z różnych ponadnarodowych form międzynarodowego współdziałania. W takim rozumieniu b.w. mieści się wszelka aktywność społeczna i kulturowa ludzi (np. działalność organizacji pozarządowych). W takiej sytuacji pojawia się problematyka prywatyzacji bezpieczeństwa oraz bezpieczeństwa społecznego. Problematyka b.w. nie doczekała się jeszcze pogłębionych studiów, dlatego też pojęcie nie ma uniwersalnego charakteru. W poszczególnych krajach lub częściach świata jest różnie interpretowane. Wpływ na jego zakres przedmiotowy mają charakter, rodzaje i specyfika zagrożeń. W Stanach Zjednoczonych (określenie ''home security'') mieszczą się w jego ramach zagadnienia: terroryzmu, przestępczości zorganizowanej (w tym narkotykowej), nielegalnej migracji oraz szpiegostwo, czyli przedmiot działania federalnych instytucji. Z kolei w przyjętej przez UE Strategii Bezpieczeństwa Wewnętrznego wymienia się następujące zagrożenia: terroryzm w każdej postaci – cechujący się absolutnym lekceważeniem życia ludzkiego i wartości demokratycznych; przestępczość zorganizowana – w różnorodnych formach, bez względu na granice państwowe; cyberprzestępczość – stanowiąca globalne, techniczne, transgraniczne i anonimowe zagrożenie systemów informatycznych; przestępczość transgraniczna – mająca zasadniczy wpływ na życie codzienne Europejczyków; przemoc (sama w sobie) – zwiększająca szkody już wywoływane przestępczością i krzywdząca społeczeństwo; 
klęski żywiołowe i czynniki antropogeniczne – takie jak: pożary lasów, trzęsienia ziemi, powodzie, wichury, susze, awarie energetyczne i awarie systemów informatyczno-komunikacyjnych na dużą skalę [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Andrzej_Misiuk A. Misiuk] ].
Tłumaczenie"SÉCURITÉ INTÉRIEURE" - le processus visant à satisfaire les besoins et les intérêts de la société d'un pays donné. Ce processus s’effectue dans un environnement complexe et ses conséquences s’appliquent non seulement aux individus et aux groupes sociaux intéressés, aux environnements, aux régions et à des pays entiers, mais également à d’autres communautés, en raison, au moins, de la dispersion spatiale des menaces qui ignorent le concept de « frontière d’un État » (par exemple, le terrorisme). En effet, le concept de la sécurité intérieure résulte de la théorie de l’État, qui distingue ses deux fonctions: externe et interne. Elle est donc étroitement liée à l’institution de l'État. C'est pourquoi la doctrine du droit utilise assez souvent le terme: sécurité intérieure de l'État. À son tour, dans le cadre de la science de la sécurité, elle est considérée en tant qu’une composante de la sécurité nationale. Ce type de sécurité est souvent compris de deux manières. Au sens plus étroite, la sécurité intérieure fait référence aux fonctions fondamentales (traditionnelles) de l’État moderne: la protection du territoire, l’ordre statutaire et politique, la stabilité sociale et l’assurance du sentiment de la sécurité des citoyens (la protection de la vie et de la santé). Cependant, au sens large, la sécurité intérieure dépasse les institutions de l'État, car elle découle de l'esprit du libéralisme et revêt également un caractère mondial (transnational) résultant de diverses formes transnationales de coopération internationale. Ainsi, la sécurité intérieure inclut toutes les activités sociales et culturelles des citoyens (par exemple, l'activité des organisations non gouvernementales). Dans une telle situation, la question se pose sur la privatisation de la sécurité et sur la sécurité sociale. La problématique portant sur la sécurité intérieure n’a pas encore été étudié à fond. Interprété différemment selon les pays et selon les régions du monde, le concept n’est donc pas universel. La nature, les types et la spécificité des menaces influent sur sa portée. Aux États-Unis (le terme home security), il couvre les questions de terrorisme, de criminalité organisée (y compris celle liée à la drogue), de lamigration illégale et d'espionnage, qui fait l'objet de l'activité des institutions fédérales. À son tour, la « Stratégie de sécurité intérieure » adoptée par l'UE mentionne les menaces suivantes : le terrorisme sous toutes ses formes, caractérisé par un mépris absolu de la vie humaine et des valeurs démocratiques; criminalité organisée sous différentes formes, indépendamment des frontières nationales; la cybercriminalité, la menace mondiale, technique, transfrontalière et anonyme pour  les systèmes d’information; la criminalité transfrontalière, l’impact majeur sur la vie quotidienne des Européens; la violence (en soi), l’accroît les dommages déjà causés par le  crime et nuit à la société; le catastrophes naturelles et facteurs anthropiques tels que : les incendies de forêts, les tremblements de terre, les inondations, les tempêtes, le sécheresses, les pannes d'énergie et les défaillances de systèmes d'information et de communication à grande échelle. [A. Misiuk].

"SÉCURITÉ INTÉRIEURE" - le processus visant à satisfaire les besoins et les intérêts de la société d'un pays donné. Ce processus s’effectue dans un environnement complexe et ses conséquences s’appliquent non seulement aux individus et aux groupes sociaux intéressés, aux environnements, aux régions et à des pays entiers, mais également à d’autres communautés, en raison, au moins, de la dispersion spatiale des menaces qui ignorent le concept de « frontière d’un État » (par exemple, le terrorisme). En effet, le concept de la sécurité intérieure résulte de la théorie de l’État, qui distingue ses deux fonctions: externe et interne. Elle est donc étroitement liée à l’institution de l'État. C'est pourquoi la doctrine du droit utilise assez souvent le terme: sécurité intérieure de l'État. À son tour, dans le cadre de la science de la sécurité, elle est considérée en tant qu’une composante de la sécurité nationale. Ce type de sécurité est souvent compris de deux manières. Au sens plus étroite, la sécurité intérieure fait référence aux fonctions fondamentales (traditionnelles) de l’État moderne: la protection du territoire, l’ordre statutaire et politique, la stabilité sociale et l’assurance du sentiment de la sécurité des citoyens (la protection de la vie et de la santé). Cependant, au sens large, la sécurité intérieure dépasse les institutions de l'État, car elle découle de l'esprit du libéralisme et revêt également un caractère mondial (transnational) résultant de diverses formes transnationales de coopération internationale. Ainsi, la sécurité intérieure inclut toutes les activités sociales et culturelles des citoyens (par exemple, l'activité des organisations non gouvernementales). Dans une telle situation, la question se pose sur la privatisation de la sécurité et sur la sécurité sociale. La problématique portant sur la sécurité intérieure n’a pas encore été étudié à fond. Interprété différemment selon les pays et selon les régions du monde, le concept n’est donc pas universel. La nature, les types et la spécificité des menaces influent sur sa portée. Aux États-Unis (le terme home security), il couvre les questions de terrorisme, de criminalité organisée (y compris celle liée à la drogue), de lamigration illégale et d'espionnage, qui fait l'objet de l'activité des institutions fédérales. À son tour, la « Stratégie de sécurité intérieure » adoptée par l'UE mentionne les menaces suivantes : le terrorisme sous toutes ses formes, caractérisé par un mépris absolu de la vie humaine et des valeurs démocratiques; criminalité organisée sous différentes formes, indépendamment des frontières nationales; la cybercriminalité, la menace mondiale, technique, transfrontalière et anonyme pour les systèmes d’information; la criminalité transfrontalière, l’impact majeur sur la vie quotidienne des Européens; la violence (en soi), l’accroît les dommages déjà causés par le crime et nuit à la société; le catastrophes naturelles et facteurs anthropiques tels que : les incendies de forêts, les tremblements de terre, les inondations, les tempêtes, le sécheresses, les pannes d'énergie et les défaillances de systèmes d'information et de communication à grande échelle. [A. Misiuk].

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