Bezstronność/fr: Różnice pomiędzy wersjami

Z Encyklopedia Administracji Publicznej

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'''BEZSTRONNOŚĆ''' – jedna z podstawowych zasad, którymi powinni kierować się wszyscy działający w imieniu państwa. Max Weber zakładał, że prawdziwy urzędnik powinien działać zgodnie z maksymą ''sine ira et studio'', czyli bez gniewu i stronniczości, te emocje bowiem są zarezerwowane dla polityka. W pojęciu bezstronności mieszczą się takie cechy, jak: uczciwość, wyższość interesu publicznego nad interesem prywatnym, profesjonalna niezależność, jawność i otwartość dostępu obywateli do informacji o działalności administracji publicznej, prawo do sprawiedliwego wysłuchania i sprawiedliwości proceduralnej (uczciwe wykonywanie przez funkcjonariuszy publicznych zadań powierzonych im przez prawo). Zasada bezstronności oznacza także zakaz podejmowania bez zgody przełożonego dodatkowych prac i zajęć. Urzędnik administracji publicznej nie demonstruje zażyłości z osobami znanymi ze swej działalności publicznej: politycznej, religijnej, społecznej, gospodarczej. B. jest wyrazem jego obiektywnego działania, a zarazem jest odwrotnością stronniczości oraz interesowności. Jest gwarancją rządów prawa, wymaga zachowania zgodnego ze społecznym postrzeganiem tej wartości. Idea b. funkcjonuje nierozłącznie z ideą [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Neutralność_polityczna neutralności politycznej] poprzez zakaz tworzenia partii politycznych i uczestniczenia w nich, publicznego manifestowania poglądów politycznych i innych. Obowiązek zachowania b. oznacza, że każda decyzja winna być wolna od przynależności do grupy interesu. Przestrzeganie tej zasady wiąże się z gwarancją, że wszyscy obywatele, niezależnie od swoich poglądów politycznych i przynależności partyjnej, płci, rasy, wyznania, statusu społecznego i majątku będą traktowani równo. Urzędnik administracji publicznej rozstrzyga kwestie związane z interesem publicznym, interesem państwowym i interesem indywidualnym. Urzędnik administracji publicznej traktuje równo obywateli, grupy etniczne, grupy społeczne bez względu na: wygląd, płeć, rasę, kolor skóry, wiek, wyznanie, status majątkowy, status społeczny, stan cywilny, przynależność polityczną, orientację seksualną, niepełnosprawność. Nie podlega naciskom i nie przyjmuje żadnych zobowiązań wynikających z pokrewieństwa, pracy, znajomości czy też przynależności partyjnej [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Jolanta_Itrich-Drabarek J. Itrich-Drabarek] ].
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'''IMPARTIALITÉ''' - l’un des principes de base selon lequel chaque personne agissant au nom de l’État doit respecter. Max Weber a supposé qu’un vrai fonctionnaire devait agir conformément à la maxime sine ira et studio, c’est-à-dire sans colère et partialité, car ces émotions étaient réservées aux politiciens. Le concept d'impartialité comprend des caractéristiques telles que: honnêteté, supériorité de l’intérêt public sur les intérêts privés, indépendance professionnelle, ouverture et transparence de l'accès des citoyens à l'information sur les activités de l'administration publique, le droit à une audition équitable et à la justice procédurale (exécution honnête des tâches confiées aux agents publics par la loi). Le principe d'impartialité signifie également qu'aucun travail ou activité supplémentaire ne peut être entrepris sans le consentement du superviseur. Un fonctionnaire de l'administration publique ne fait pas preuve d'intimité avec des personnes connues pour leurs activités publiques: politique, religieuse, sociale, économique. L'impartialité est une expression de l'activité objective et est en même temps le contraire de la partialité et de l’intérêt personnel. C’est une garantie de l’état de droit et un comportement conforme à la perception sociale de cette valeur. L'idée de l'impartialité est indissociable de l'idée de neutralité politique en interdisant la création de partis politiques et la participation à ceux-ci, la manifestation publique des opinions politiques ou autres. L'obligation de maintenir l'impartialité signifie que chaque décision doit être libre d'appartenance à un groupe d'intérêt. Le respect de ce principe est une garantie que tous les citoyens, quels que soient leurs opinions politiques et leur appartenance à un parti, leur sexe, leur race, leur religion, leur statut social et leurs biens, seront traités sur un pied d'égalité. Un fonctionnaire de l'administration publique décide des questions liées à l'intérêt public, aux intérêts de l'État et aux intérêts individuels. Un fonctionnaire de l’administration publique tranche les affaires des citoyens, des groupes ethniques et des groupes sociaux sur un pied d’égalité, sans distinction d’apparence, de sexe, de race, de couleur de peau, d’âge, de religion, de statut de propriété, de statut social, de statut matrimonial, d’appartenance politique, d’orientation sexuelle, de handicap. Il n'est soumis à aucune pression et n'accepte aucune obligation de parenté, de travail, de connaissance ou d'appartenance à un parti [J. Itrich-Drabarek].
  
 
'''Literatura''': J. Itrich-Drabarek, ''The Civil Service in Poland – Theory and Experience'', Frankfurt am Main 2015 ■ J. Itrich-Drabarek, ''Etyka zawodowa funkcjonariuszy służb państwowych'', Warszawa 2016.
 
'''Literatura''': J. Itrich-Drabarek, ''The Civil Service in Poland – Theory and Experience'', Frankfurt am Main 2015 ■ J. Itrich-Drabarek, ''Etyka zawodowa funkcjonariuszy służb państwowych'', Warszawa 2016.

Wersja z 16:06, 16 paź 2019

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IMPARTIALITÉ - l’un des principes de base selon lequel chaque personne agissant au nom de l’État doit respecter. Max Weber a supposé qu’un vrai fonctionnaire devait agir conformément à la maxime sine ira et studio, c’est-à-dire sans colère et partialité, car ces émotions étaient réservées aux politiciens. Le concept d'impartialité comprend des caractéristiques telles que: honnêteté, supériorité de l’intérêt public sur les intérêts privés, indépendance professionnelle, ouverture et transparence de l'accès des citoyens à l'information sur les activités de l'administration publique, le droit à une audition équitable et à la justice procédurale (exécution honnête des tâches confiées aux agents publics par la loi). Le principe d'impartialité signifie également qu'aucun travail ou activité supplémentaire ne peut être entrepris sans le consentement du superviseur. Un fonctionnaire de l'administration publique ne fait pas preuve d'intimité avec des personnes connues pour leurs activités publiques: politique, religieuse, sociale, économique. L'impartialité est une expression de l'activité objective et est en même temps le contraire de la partialité et de l’intérêt personnel. C’est une garantie de l’état de droit et un comportement conforme à la perception sociale de cette valeur. L'idée de l'impartialité est indissociable de l'idée de → neutralité politique en interdisant la création de partis politiques et la participation à ceux-ci, la manifestation publique des opinions politiques ou autres. L'obligation de maintenir l'impartialité signifie que chaque décision doit être libre d'appartenance à un groupe d'intérêt. Le respect de ce principe est une garantie que tous les citoyens, quels que soient leurs opinions politiques et leur appartenance à un parti, leur sexe, leur race, leur religion, leur statut social et leurs biens, seront traités sur un pied d'égalité. Un fonctionnaire de l'administration publique décide des questions liées à l'intérêt public, aux intérêts de l'État et aux intérêts individuels. Un fonctionnaire de l’administration publique tranche les affaires des citoyens, des groupes ethniques et des groupes sociaux sur un pied d’égalité, sans distinction d’apparence, de sexe, de race, de couleur de peau, d’âge, de religion, de statut de propriété, de statut social, de statut matrimonial, d’appartenance politique, d’orientation sexuelle, de handicap. Il n'est soumis à aucune pression et n'accepte aucune obligation de parenté, de travail, de connaissance ou d'appartenance à un parti [J. Itrich-Drabarek].

Literatura: J. Itrich-Drabarek, The Civil Service in Poland – Theory and Experience, Frankfurt am Main 2015 ■ J. Itrich-Drabarek, Etyka zawodowa funkcjonariuszy służb państwowych, Warszawa 2016.

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