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'''INTERPELACJA''' – jeden z podstawowych, indywidualnych środków kontroli parlamentarnej (parlamentarzystów) nad działalnością rządu. Występuje też w samorządzie terytorialnym – interpelacja radnego. Int. parlamentarzysty (w polskich uwarunkowaniach ustrojowych prawo to przysługuje jedynie posłom) polega na kierowaniu przez niego pytań do członków rady ministrów, które rodzą obowiązek udzielenia odpowiedzi na piśmie w przewidzianym przez regulamin sejmu terminie (21 dni). Treścią int. powinny być sprawy o charakterze zasadniczym i odnoszące się do problemów związanych z polityką państwa. Treść int. powinna zawierać przedstawienie stanu faktycznego oraz wynikające zeń pytanie, zgodnie z właściwością interpelowanego. Są to zatem kwestie szczególnie istotne, choć w praktyce zdarza się, że treść int. dotyka materii zapytań poselskich, które kierowane są w sprawach bieżących, mniej fundamentalnych. Pewnym elementem korygującym jest wstępna kontrola int. przez prezydium sejmu, które może zdecydować o nienadaniu jej biegu ze względu na niespełnienie wskazanych regulaminowo wymogów formalnych. Marszałek sejmu niezwłocznie przekazuje int. adresatowi, który powinien poinformować sejm o jej przyjęciu (treść int. oraz odpowiedź na nią publikuje się w załączniku do sprawozdania stenograficznego z obrad sejmu). W przypadku, gdy poseł uzna odpowiedź interpelowanego podmiotu za niewystarczającą, może zwrócić się do marszałka o wystąpienie do członka rady ministrów z żądaniem złożenia dodatkowych wyjaśnień. Z politycznego punktu widzenia int. daje posłowi możliwość wykazania przed wyborcami zainteresowania problemami własnego okręgu wyborczego (wiele z int. oraz zapytań dotyczy problemów związanych z funkcjonowaniem danych wspólnot regionalnych i lokalnych), jak również jest jednym z najważniejszych instrumentów kontrolnych opozycji parlamentarnej. W samorządzie terytorialnym instytucja int. radnego regulowana jest przepisami statutu jednostki samorządu terytorialnego – reguluje ją zatem nie ustawa, lecz akt prawa miejscowego. Co do zasady int. (kierowana do organu wykonawczego jednostki samorządu terytorialnego) dotyczy istotnych spraw z punktu widzenia funkcjonowania tej jednostki i obejmuje wskazanie konieczności rozwiązania danego problemu i żądanie zajęcia stanowiska przez organ wykonawczy jednostki. Radny ma prawo uzyskać każdą informację, która ma publiczny charakter. Int. ma charakter pisemny lub ustny [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Tomasz_S%C5%82omka T. Słomka] ].
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'''INTERPELATION''' - L’un des moyens de base individuels du contrôle parlementaire (parlementaires) sur les activités du gouvernement. Il apparaît également dans le gouvernement local - interpellation d'un conseiller. L'intention des députés (dans les conditions systémiques polonaises ce droit n'appartient qu'aux députés) consiste à poser des questions aux membres du conseil des ministres, qui entraînent l'obligation de répondre par écrit dans le délai fixé par le règlement de la Sejm (21 jours). Contenu int. il devrait y avoir des questions de nature fondamentale liées aux problèmes liés à la politique de l'État. Contenu int. doit contenir une présentation des faits et la question qui en découle, conformément à la propriété de l'interpolée. Ce sont donc des questions particulièrement importantes, même si dans la pratique il arrive que le contenu de int. aborde la question des enquêtes parlementaires, qui sont abordées dans des affaires actuelles, moins fondamentales. Un élément correctif est le contrôle initial int. par le présidium du Sejm, qui peut décider de ne pas arrêter son cours du fait du non-respect des exigences de forme énoncées dans les règlements. Le Maréchal du Sejm doit immédiatement transmettre à au destinataire qui devrait informer le Sejm de son adoption (son contenu et sa réponse sont publiés dans l'annexe du rapport sténographique de la procédure du Sejm). Si le député estime que la réponse de l'entité interpolée est insuffisante, il peut demander au commissaire de demander à un membre du Conseil des ministres de demander des explications supplémentaires. D'un point de vue politique, int. il donne au député l’occasion de démontrer aux électeurs son intérêt pour les problèmes de sa propre circonscription (bon nombre des intentions et des enquêtes portent sur des problèmes liés au fonctionnement de communautés régionales et locales données), ainsi qu’un des instruments de contrôle les plus importants de l’opposition parlementaire. Dans le gouvernement local, l'institution int. conseiller est régi par les dispositions de la loi du gouvernement local - il est donc réglementé non pas par la loi, mais par un acte de droit local. En règle générale, int. (adressé à l'organe exécutif de l'unité de gouvernement local) concerne des questions importantes du point de vue du fonctionnement de cette unité et inclut l'indication de la nécessité de résoudre un problème donné et la demande d'un poste par l'organe exécutif de l'unité. Un conseiller a le droit d'obtenir toute information publique. Int est écrit ou oral [T. Słomka].
  
 
'''Literatura''': L. Garlicki, ''Polskie prawo konstytucyjne. Zarys wykładu'', Warszawa 2013 ■ A. Krajewska, ''Radni a partycypacja publiczna'', Instytut Spraw Publicznych, „Analizy i Opinie” 2013, nr 5.
 
'''Literatura''': L. Garlicki, ''Polskie prawo konstytucyjne. Zarys wykładu'', Warszawa 2013 ■ A. Krajewska, ''Radni a partycypacja publiczna'', Instytut Spraw Publicznych, „Analizy i Opinie” 2013, nr 5.

Wersja z 14:09, 22 paź 2019

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INTERPELATION - L’un des moyens de base individuels du contrôle parlementaire (parlementaires) sur les activités du gouvernement. Il apparaît également dans le gouvernement local - interpellation d'un conseiller. L'intention des députés (dans les conditions systémiques polonaises ce droit n'appartient qu'aux députés) consiste à poser des questions aux membres du conseil des ministres, qui entraînent l'obligation de répondre par écrit dans le délai fixé par le règlement de la Sejm (21 jours). Contenu int. il devrait y avoir des questions de nature fondamentale liées aux problèmes liés à la politique de l'État. Contenu int. doit contenir une présentation des faits et la question qui en découle, conformément à la propriété de l'interpolée. Ce sont donc des questions particulièrement importantes, même si dans la pratique il arrive que le contenu de int. aborde la question des enquêtes parlementaires, qui sont abordées dans des affaires actuelles, moins fondamentales. Un élément correctif est le contrôle initial int. par le présidium du Sejm, qui peut décider de ne pas arrêter son cours du fait du non-respect des exigences de forme énoncées dans les règlements. Le Maréchal du Sejm doit immédiatement transmettre à au destinataire qui devrait informer le Sejm de son adoption (son contenu et sa réponse sont publiés dans l'annexe du rapport sténographique de la procédure du Sejm). Si le député estime que la réponse de l'entité interpolée est insuffisante, il peut demander au commissaire de demander à un membre du Conseil des ministres de demander des explications supplémentaires. D'un point de vue politique, int. il donne au député l’occasion de démontrer aux électeurs son intérêt pour les problèmes de sa propre circonscription (bon nombre des intentions et des enquêtes portent sur des problèmes liés au fonctionnement de communautés régionales et locales données), ainsi qu’un des instruments de contrôle les plus importants de l’opposition parlementaire. Dans le gouvernement local, l'institution int. conseiller est régi par les dispositions de la loi du gouvernement local - il est donc réglementé non pas par la loi, mais par un acte de droit local. En règle générale, int. (adressé à l'organe exécutif de l'unité de gouvernement local) concerne des questions importantes du point de vue du fonctionnement de cette unité et inclut l'indication de la nécessité de résoudre un problème donné et la demande d'un poste par l'organe exécutif de l'unité. Un conseiller a le droit d'obtenir toute information publique. Int est écrit ou oral [T. Słomka].

Literatura: L. Garlicki, Polskie prawo konstytucyjne. Zarys wykładu, Warszawa 2013 ■ A. Krajewska, Radni a partycypacja publiczna, Instytut Spraw Publicznych, „Analizy i Opinie” 2013, nr 5.

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