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Letaprywacja/1/fr: Różnice pomiędzy wersjami

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Tekst źródłowy komunikatu (Letaprywacja)
'''LETAPRYWACJA''' – traktowanie administracji publicznej państwa przez urzędników jako „dobra niczyjego”, z którego w sposób oficjalny można przejmować wartości majątkowe i organizacyjne, używając mechanizmów prawnych stworzonych przez państwo. Istotą zjawiska l. jest fakt (Jan Boć), że poprzez zalegalizowanie pewnych form interesu lub wykorzystanie istniejącego prawa urzędnicy administracji publicznej we współpracy ze sferą biznesu czerpią korzyści z majątku publicznego Oznacza to wykorzystywanie prawa lub luk prawnych dla osiągnięcia osobistych korzyści. W tej sytuacji dochodzi do zerwania z zasadą równości wobec prawa i wykorzystania go dla prywatnych celów. Zjawisko l. może wystąpić na kilku płaszczyznach. Po pierwsze, dotyka procesu transformacji gospodarczej, a szczególnie prywatyzacji. Proces prywatyzacji, nieprzygotowany pod kątem infrastruktury prawnej i długotrwałego programu przekształceń własnościowych, może stworzyć warunki do nasilenia tendencji do: omijania prawa, wykorzystywania luk prawnych, interpretowania prawa przez osoby mające na nie wpływ formalny i nieformalny lub tworzenia prawa – w korzystny dla nich sposób. Po drugie, może oznaczać tworzenie prawa na użytek osoby lub grupy osób. Ustanowione prawo odnosi się do bardzo wąskiej grupy ludzi – najczęściej przedsiębiorców, rzadziej w sposób bezpośredni polityków – i przynosi im korzyść materialną lub poprawia ich sytuację w inny sposób. W trzecim przypadku chodzi o zawłaszczanie części organizacyjnej państwa, a następnie czerpanie z tego tytułu legalnych dochodów i zysków. W ramach zjawiska l. występuje pobieranie wysokich diet, odpraw czy szerzej – korzystanie z majątku publicznego, interpretowanie prawa na swoją korzyść, dzięki swojemu znaczącemu stanowisku w hierarchii. Z pojęciem l. łączy się korupcja szara, czyli zachowanie moralnie naganne, ale wymykające się jednoznacznej ocenie prawnej (→ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Korupcja korupcja]). Należy do niej przekupstwo, w ramach którego dochodzi do zakupu zamówień, kontraktów i innych korzyści rządowych, koncesji, decyzji sądów oraz do uchylania się przed obowiązkiem celnym czy podatkowym. Cechy l. mają również obyczajowe, trudne do wyeliminowania formy wykorzystywania pozycji urzędniczej do celów osobistych lub rodzinnych – takie choćby jak wykorzystywanie samochodu służbowego do celów pozasłużbowych, korzystanie z telefonu służbowego do rozmów prywatnych, kradzież materiałów biurowych w postaci używania papieru służbowego czy toneru do celów prywatnych, ładowanie prywatnych telefonów w pracy, przyjmowanie od firm prywatnych drobnych upominków – długopisów, notesów, kalendarzy [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Jolanta_Itrich-Drabarek J. Itrich-Drabarek] ].
Tłumaczenie'''LETAPRATION''' - Traiter l’administration publique de l’État par des fonctionnaires comme «nul ne peut être bien», à partir duquel des valeurs de propriété et d’organisation peuvent être officiellement reprises par des mécanismes juridiques créés par l’État. L'essence de ce phénomène réside dans le fait (Jan Boć) qu'en légalisant certaines formes d'intérêts ou en utilisant le droit existant, les fonctionnaires de l'administration publique en coopération avec le monde des affaires bénéficient de la propriété publique, ce qui signifie utiliser la loi ou des échappatoires juridiques pour obtenir des avantages personnels. Dans cette situation, le principe d'égalité devant la loi est violé et utilisé à des fins privées. Le phénomène de L. peut se produire à plusieurs niveaux. Tout d'abord, il aborde le processus de transformation économique, en particulier la privatisation. Le processus de privatisation, non préparé en termes d’infrastructure juridique et de programme de transformation de la propriété à long terme, peut créer les conditions nécessaires pour intensifier la tendance à: contourner la loi, exploiter les lacunes juridiques, interpréter la loi par des personnes ayant une influence formelle ou informelle sur elle ou créer une loi - d’une manière qui lui soit favorable. Deuxièmement, cela peut signifier la création de droits d'utilisation d'une personne ou d'un groupe de personnes. La loi en vigueur fait référence à un groupe très restreint de personnes - le plus souvent des entrepreneurs, moins souvent directement des politiciens - et leur apporte un avantage matériel ou améliore leur situation d'une autre manière. Dans le troisième cas, il s’agit d’approprier la partie organisationnelle de l’Etat, puis d’obtenir un revenu légal et d’en tirer profit. Dans le cadre du phénomène de L., il y a la collecte des régimes alimentaires élevés, des indemnités de licenciement ou, plus largement, de l'utilisation de la propriété publique, interprétant la loi en sa faveur, grâce à sa position importante dans la hiérarchie. Gray est associé au concept de comportement moralement répréhensible de L., P.E., mais défie toute évaluation juridique claire (→ corruption). Cela inclut la corruption, qui implique l'achat d'ordres, de contrats et d'autres avantages accordés par le gouvernement, de concessions, de décisions de justice et le non-respect d'obligations douanières ou fiscales. Il est également difficile d'éliminer des formes morales d'utilisation du poste de commis à des fins personnelles ou familiales, telles que l'utilisation d'un véhicule de société à des fins non professionnelles, l'utilisation d'un téléphone professionnel pour des conversations privées, le vol de fournitures de bureau sous la forme d'un papier d'affaires ou de toner. privés, chargeant des téléphones privés au travail, recevant de petits cadeaux d'entreprises privées - stylos, cahiers, calendriers [J. Itrich-Drabarek].

LETAPRATION - Traiter l’administration publique de l’État par des fonctionnaires comme «nul ne peut être bien», à partir duquel des valeurs de propriété et d’organisation peuvent être officiellement reprises par des mécanismes juridiques créés par l’État. L'essence de ce phénomène réside dans le fait (Jan Boć) qu'en légalisant certaines formes d'intérêts ou en utilisant le droit existant, les fonctionnaires de l'administration publique en coopération avec le monde des affaires bénéficient de la propriété publique, ce qui signifie utiliser la loi ou des échappatoires juridiques pour obtenir des avantages personnels. Dans cette situation, le principe d'égalité devant la loi est violé et utilisé à des fins privées. Le phénomène de L. peut se produire à plusieurs niveaux. Tout d'abord, il aborde le processus de transformation économique, en particulier la privatisation. Le processus de privatisation, non préparé en termes d’infrastructure juridique et de programme de transformation de la propriété à long terme, peut créer les conditions nécessaires pour intensifier la tendance à: contourner la loi, exploiter les lacunes juridiques, interpréter la loi par des personnes ayant une influence formelle ou informelle sur elle ou créer une loi - d’une manière qui lui soit favorable. Deuxièmement, cela peut signifier la création de droits d'utilisation d'une personne ou d'un groupe de personnes. La loi en vigueur fait référence à un groupe très restreint de personnes - le plus souvent des entrepreneurs, moins souvent directement des politiciens - et leur apporte un avantage matériel ou améliore leur situation d'une autre manière. Dans le troisième cas, il s’agit d’approprier la partie organisationnelle de l’Etat, puis d’obtenir un revenu légal et d’en tirer profit. Dans le cadre du phénomène de L., il y a la collecte des régimes alimentaires élevés, des indemnités de licenciement ou, plus largement, de l'utilisation de la propriété publique, interprétant la loi en sa faveur, grâce à sa position importante dans la hiérarchie. Gray est associé au concept de comportement moralement répréhensible de L., P.E., mais défie toute évaluation juridique claire (→ corruption). Cela inclut la corruption, qui implique l'achat d'ordres, de contrats et d'autres avantages accordés par le gouvernement, de concessions, de décisions de justice et le non-respect d'obligations douanières ou fiscales. Il est également difficile d'éliminer des formes morales d'utilisation du poste de commis à des fins personnelles ou familiales, telles que l'utilisation d'un véhicule de société à des fins non professionnelles, l'utilisation d'un téléphone professionnel pour des conversations privées, le vol de fournitures de bureau sous la forme d'un papier d'affaires ou de toner. privés, chargeant des téléphones privés au travail, recevant de petits cadeaux d'entreprises privées - stylos, cahiers, calendriers [J. Itrich-Drabarek].

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