Mienie komunalne/fr: Różnice pomiędzy wersjami

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'''MIENIE KOMUNALNE''' – stanowi część mienia jednostek samorządu terytorialnego, przy czym przymiotnik „komunalne” nakazuje odnosić to pojęcie wyłącznie do jednostek samorządu terytorialnego szczebla gminnego. Zgodnie z definicją zawartą w przepisach ustrojowych samorządu gminnego mieniem komunalnym jest własność i inne prawa majątkowe należące do poszczególnych gmin i ich związków oraz mienie innych gminnych osób prawnych, w tym przedsiębiorstw. Definicja ta jest zbieżna z rozumieniem mienia na gruncie przepisów prawa cywilnego. Na kategorię mienia (majątku) składają się zatem wszelkie prawa podmiotowe majątkowe – przysługujące gminom, ich związkom oraz gminnym osobom prawnym i spółkom komunalnym – takie jak w szczególności: własność, użytkowanie wieczyste, dzierżawa, najem, użytkowanie, służebność, zastaw, prawa majątkowe na dobrach niematerialnych. M.kom. obejmuje wyłącznie ogół aktywów tych podmiotów, pozostawiając poza swoją definicją ciążące na nich pasywa. Podstawowym składnikiem m.kom. są nieruchomości, choć w zakres mienia wchodzą także rzeczy ruchome i prawa. Nabycie m.kom. może nastąpić na kilka sposobów. W przypadku gminy – w szczególności wskutek: przekazania mienia przez administrację rządową; zmiany granic, podziału lub połączenia gmin; w wyniku działalności gospodarczej gminy; przez inne czynności prawne (np. przyjęcie spadku lub darowizny, zamianę nieruchomości). Spółki komunalne i samorządowe osoby prawne nabywają zwykle prawa majątkowe albo bezpośrednio od gmin, albo poprzez udział w obrocie cywilnoprawnym. Co istotne, podmioty m.kom. samodzielnie decydują o przeznaczeniu i sposobie wykorzystania posiadanych składników majątkowych (przy zachowaniu wymogów zawartych w odrębnych przepisach prawa). Gospodarowanie m.kom. jest zadaniem wójta/burmistrza/prezydenta miasta. Z kolei zasady zarządu m.kom. ustalają organy stanowiące jednostek samorządu terytorialnego. W przypadku związków jednostek samorządu terytorialnego, samorządowych osób prawnych i spółek komunalnych – zasady gospodarowania majątkiem ustalone są w odrębnych przepisach prawa lub aktach wewnętrznych regulujących funkcjonowanie tych podmiotów. Gmina nie ponosi przy tym odpowiedzialności za zobowiązania innych gminnych osób prawnych, te zaś nie ponoszą odpowiedzialności za zobowiązania gminy w zakresie gospodarowania m.kom. Należy jednak pamiętać, że z uwagi na szczególny, „publiczny” status tego majątku, obowiązkiem osób uczestniczących w zarządzaniu m.kom. jest zachowanie szczególnej staranności przy wykonywaniu zarządu zgodnie z przeznaczeniem tego mienia oraz jego ochrona, co sankcjonowane jest przepisami prawa [ [http://encyklopediaap.uw.edu.pl/index.php/Rafa%C5%82_Cie%C5%9Blak R. Cieślak] ].
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"PROPRIÉTÉ COMMUNALE" - fait partie de la propriété des unités de gouvernement local, l’adjectif «municipal» permettant de renvoyer ce concept uniquement aux unités du gouvernement local. Selon la définition contenue dans les dispositions constitutionnelles de l’administration communale, la propriété communale est la propriété et les autres droits de propriété appartenant aux communes individuelles et leurs associations, ainsi que les biens d’autres personnes morales communes, y compris les entreprises. Cette définition est compatible avec la compréhension de la propriété en droit civil. La catégorie des biens comprend donc tous les droits de propriété - dévolus aux municipalités, à leurs associations, à leurs entités juridiques municipales et à leurs sociétés, notamment: propriété, usufruit à perpétuité, loyer, bail, usufruit, servitude, gage, droit de propriété des biens immatériels. La propriété communale ne couvre que la totalité des actifs de ces entités, laissant les passifs hors de leur définition. L'ingrédient de base de la propriété communale ce sont des biens immobiliers, bien que les biens mobiliers et les droits y soient également inclus. L’acquisition du bien municipal peut se produire de plusieurs manières. Dans le cas d'une commune - en particulier à la suite: d'un transfert de propriété par l'administration gouvernementale; modifications des frontières, division ou fusion de municipalités; en raison de l'activité économique de la commune; par d'autres actions en justice (par exemple, acceptation d'un héritage ou d'un don, échange de biens immobiliers). Les sociétés municipales et les personnes morales des administrations locales acquièrent généralement des droits de propriété soit directement auprès des municipalités, soit en participant à des transactions de droit civil. Ce qui est important, c’est que les sujets de la propriété communale décident en toute indépendance de la finalité et de la manière d'utiliser les biens possédés (sous réserve du respect des exigences énoncées dans des réglementations juridiques distinctes). La gestion de la propriété communale est la tâche d'un chef de la commune rurale/ bourgmestre / maire. À son tour, les principes du conseil d’administration de la propriété communale sont déterminés par les organes constitutifs des unités du gouvernement local. Dans le cas d'associations de collectivités locales, d'entités juridiques de collectivités locales et d'entreprises municipales, les principes de la gestion immobilière sont énoncés dans des dispositions légales ou des actes internes distincts régissant le fonctionnement de ces entités. La municipalité n'est pas responsable des obligations des autres entités juridiques municipales et ne sont pas responsables des obligations de la municipalité en matière de gestion de la propriété communale. Toutefois, il convient de rappeler qu’en raison du statut spécial « public » de cette propriété, il incombe aux personnes participant à la gestion de la propriété communale d’exercer une diligence particulière dans le fonctionnement du conseil de gestion conformément à la finalité de la propriété et à sa protection, qui est sanctionnée par des dispositions légales. [R. Cieślak].
  
'''Literatura''': ''Komentarz do ustawy o samorządzie gminnym'', red. P. Chmielnicki, Warszawa 2007 ■ A. Wolter, J. Ignatowicz, K. Stefaniuk, ''Prawo cywilne. Zarys części ogólnej'', Warszawa 1998.
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'''Sources''': ''Komentarz do ustawy o samorządzie gminnym'', red. P. Chmielnicki, Warszawa 2007 ■ A. Wolter, J. Ignatowicz, K. Stefaniuk, ''Prawo cywilne. Zarys części ogólnej'', Warszawa 1998.

Aktualna wersja na dzień 23:48, 12 lut 2020

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"PROPRIÉTÉ COMMUNALE" - fait partie de la propriété des unités de gouvernement local, l’adjectif «municipal» permettant de renvoyer ce concept uniquement aux unités du gouvernement local. Selon la définition contenue dans les dispositions constitutionnelles de l’administration communale, la propriété communale est la propriété et les autres droits de propriété appartenant aux communes individuelles et leurs associations, ainsi que les biens d’autres personnes morales communes, y compris les entreprises. Cette définition est compatible avec la compréhension de la propriété en droit civil. La catégorie des biens comprend donc tous les droits de propriété - dévolus aux municipalités, à leurs associations, à leurs entités juridiques municipales et à leurs sociétés, notamment: propriété, usufruit à perpétuité, loyer, bail, usufruit, servitude, gage, droit de propriété des biens immatériels. La propriété communale ne couvre que la totalité des actifs de ces entités, laissant les passifs hors de leur définition. L'ingrédient de base de la propriété communale ce sont des biens immobiliers, bien que les biens mobiliers et les droits y soient également inclus. L’acquisition du bien municipal peut se produire de plusieurs manières. Dans le cas d'une commune - en particulier à la suite: d'un transfert de propriété par l'administration gouvernementale; modifications des frontières, division ou fusion de municipalités; en raison de l'activité économique de la commune; par d'autres actions en justice (par exemple, acceptation d'un héritage ou d'un don, échange de biens immobiliers). Les sociétés municipales et les personnes morales des administrations locales acquièrent généralement des droits de propriété soit directement auprès des municipalités, soit en participant à des transactions de droit civil. Ce qui est important, c’est que les sujets de la propriété communale décident en toute indépendance de la finalité et de la manière d'utiliser les biens possédés (sous réserve du respect des exigences énoncées dans des réglementations juridiques distinctes). La gestion de la propriété communale est la tâche d'un chef de la commune rurale/ bourgmestre / maire. À son tour, les principes du conseil d’administration de la propriété communale sont déterminés par les organes constitutifs des unités du gouvernement local. Dans le cas d'associations de collectivités locales, d'entités juridiques de collectivités locales et d'entreprises municipales, les principes de la gestion immobilière sont énoncés dans des dispositions légales ou des actes internes distincts régissant le fonctionnement de ces entités. La municipalité n'est pas responsable des obligations des autres entités juridiques municipales et ne sont pas responsables des obligations de la municipalité en matière de gestion de la propriété communale. Toutefois, il convient de rappeler qu’en raison du statut spécial « public » de cette propriété, il incombe aux personnes participant à la gestion de la propriété communale d’exercer une diligence particulière dans le fonctionnement du conseil de gestion conformément à la finalité de la propriété et à sa protection, qui est sanctionnée par des dispositions légales. [R. Cieślak].

Sources: Komentarz do ustawy o samorządzie gminnym, red. P. Chmielnicki, Warszawa 2007 ■ A. Wolter, J. Ignatowicz, K. Stefaniuk, Prawo cywilne. Zarys części ogólnej, Warszawa 1998.

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